Menu

Analyse tendance cac 40 séance 22 avril 2013

Nous voilà donc avec un intéressant rebond. Mais comme vous avez pu le constater celui-ci n’a su pour le moment s’extirper des 3660 points. En ce sens, il convient donc de prendre ce rebond avec des pincettes car il ne demeure à ce stade, qu’un rebond technique. La clôture US sera donc intéressante à observer ce soir. Pour lundi, le cac 40 aura quelque chose d’intéressant à nous démontrer dans sa capacité à pouvoir sortir par le haut des 3660-3670 soit une cassure haussière du biseau descendant exposé. Cela aurait pour incidence de relancer le courant acheteur vers les 3720 points. Mais délicat d’anticiper, alors il convient de garder en tête le contre scénario qui serait un nouveau test de l’oblique support du biseau à savoir les 3570 points. Ce test des 3572 s’il devait advenir serait le dernier avant un rebond franc et massif, car sur ces 3572 points on retrouve bon nombre de supports en journalier et hebdomadaire. Je doute donc que le marché le fasse céder (3572) sans un rebond intéressant. Mais ce rebond intéressant, est peut être né ce jour. Et cela c’est la séance de lundi qui nous le confirmera ou pas…

Rebond technique haussier en cours au-dessus des 3636 points, objectif 3660-3670. Le passage des 3670 donnerait un signal acheteur vers 3690-3720 points. A contrario, sous 3636 le risque d’un retour 3572 serait omniprésent.

analyse cac 40

Note: Tous les trades sont discutés, annoncés et partagés en temps réel sur L'Académie des Graphs.

Sur le site public ici, Le portefeuille est mis à jour une fois par jour vers midi. Le portefeuille représente mes convictions personnelles consolidées (de mes différents courtiers) et n'est pas pas une incitation à l'achat ni à la vente. Il s'agit de mon portefeuille dynamique donc agressif. J'ai un autre portefeuille bas de laine long terme diffusé exclusivement sur l'Académie des Graphs. Mon capital et mon horizon de placement sur chaque titre ne sont surement pas les mêmes que les vôtres. Le portefeuille est là pour partager avec vous en toute transparence mes convictions au quotidien mais n'a pas vocation à être suivi.

La performance annuelle inclus les gains ou moins values latentes des positions en cours. Cela inclus aussi les gains ou pertes de change sur les actions hors Euro (c'est reflété dans la perf de chaque action individuelle). Les éventuels retraits sont annoncés. La performance est donc en net.

Performance 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%...

Téléchargez tout de suite et gratuitement mon livre plein de conseils exclusifs pour savoir comment détecter les bonnes actions à acheter et surtout au bon moment en cliquant ici

Recevez mes nouvelles positions ainsi que mon portefeuille boursier par email via des chroniques régulières. C'est gratuit !

Mes écrits sont motivés par vos retours : Partagez mon travail. Merci de votre soutien !

6 commentaires

  1. C’est un voisin inespéré pour le premier consommateur mondial de matières premières. A 80 kilomètres au nord de sa frontière, la Chine verra entrer en production cet été le plus grand gisement au monde de cuivre et d’or jusque-là inexploité. Située dans le sud du désert de Gobi, la mine d’Oyu Tolgoi est devenue le symbole de l’immense potentiel minier de la Mongolie. Et une vitrine pour attirer les investisseurs étrangers du monde entier. Car le sous-sol du pays -où la densité de population est la plus basse de la planète -regorge également de charbon, de terres rares (des métaux essentiels à de nombreuses industries) ou encore d’uranium : les spécialistes estiment qu’après dix ans d’exploration, la Mongolie possédera les deuxièmes plus grandes réserves au monde du minerai destiné à l’énergie nucléaire. Au total, ces richesses naturelles ont été estimées à 1.300 milliards de dollars. A titre de comparaison, en 2010, le PIB mongol s’élevait à 6,2 milliards de dollars.
    4% de la production mondiale de cuivre
    D’ici cinq ans, Oyu Tolgoi fonctionnera à plein régime. Ce sera le premier contributeur à l’économie mongole : la mine géante représentera environ un tiers du PIB du pays d’ici 2020. Chaque année, 545.000 tonnes de cuivre en sortiront, c’est à dire 4% de la production mondiale, et 650.000 onces d’or. C’est l’investissement étranger le plus important jamais réalisé dans le pays. Le géant minier australien Rio Tinto en détient aujourd’hui 66%, le reste étant contrôlé par l’Etat. Plus de six milliards et demi de dollars ont été nécessaires pour la mine à ciel ouvert. La deuxième phase du projet dépassera 5 milliards, consacrés à creuser la mine souterraine et ses 250 kilomètres de tunnels.
    Mais depuis le début de l’année, les tensions sont vives entre les deux actionnaires. Le gouvernement déplore les dépassements de coûts. Trois réunions de crise ont été tenues en quatre mois. En février, le président mongol avait estimé que le pays devait prendre davantage le contrôle du projet. Rio Tinto avait immédiatement réagi en menaçant d’interrompre pour un temps la construction. Les discussions se poursuivent. « Des progrès constructifs ont été faits » a assuré jeudi Cameron McRae, le PDG d’Oyu Tolgoi LLC, la co-entreprise qui gère le site. La Mongolie a lancé un audit des opérations. « Le gouvernement sait qu’il doit faire attention à la façon dont il gère le problème. Il pourrait envoyer le mauvais signal au mauvais moment… et dissuader les intérêts étrangers à venir dans un secteur qui ne peut pas exister sans le capital et l’expertise apportés par les grandes entreprises occidentales », souligne Svetoslav Varadzhakov, vice-président de Collabrium Capital et « research fellow » à l’Université de Cambridge. « Je pense toutefois que le différend sera bientôt résolu, avant l’élection présidentielle de juin. Un scénario gagnant-gagnant est possible », poursuit-il.
    Premier fournisseur de charbon de la Chine
    Beaucoup d’autres projets sont en cours à travers tout le pays, qui impliquent des entreprises australiennes, canadiennes, russes, chinoises et sud-coréennes. Le groupe de nucléaire français Areva est présent depuis une quinzaine d’années dans l’exploration en Mongolie, où il déjà investi plus de 100 millions de dollars.
    A quelque 150 kilomètres d’Oyu Tolgoi se trouve Tavan Tolgoi, le bassin de charbon encore inexploité probablement le plus vaste au monde (il contiendrait 6 milliards de tonnes). Depuis 2011, la Mongolie est devenu le premier fournisseur de charbon de la Chine, devant l’Australie. Une aubaine pour Pékin qui économiserait 6 milliards de dollars par an en achetant son combustible en Mongolie plutôt qu’ailleurs.« Le gouvernement a identifié environ trente milliards de dollars de projets majeurs à l’horizon », a énoncé Cameron McRae. Des centrales électriques, d’autres projets miniers, des sites industriels, des usines, des réservoirs, des logements, des routes, des chemins de fer… Beaucoup reste à faire. « Nous avons le plus gros gisement de charbon thermique au monde et pourtant nous importons l’électricité de Chine », a déploré pour sa part le gouverneur de la banque centrale Naidansuren Zoljargal, cité par Bloomberg. Avec la faramineuse richesse de ses sous-sols, la Mongolie est souvent comparée au Kazakhstan ou au Qatar il y a quelques dizaines d’années. « Si l’on regarde la croissance de l’économie kazakh au cours de la dernière décennie, on peut imaginer ce qui pourrait arriver à la Mongolie », remarque Svetoslav Varadzhakov.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Comme plus de 10 000 personnes, recevez ma formation, mon top actions et mes chroniques

Recevez gratuitement tout ce qu'il vous faut savoir pour mieux investir, réussir en bourse dès demain et ma formation gratuite pour bien débuter.