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Bourse en 2014: 5 risques pour Goldman Sachs

Five risks to our economic forecast

Our central forecasts look for accelerating growth in the DM economies, against the backdrop of continued low inflation and low policy rates. The main risks to this view are:

1)  a reduction in fiscal drag is less of a plus than we expect;

2)  deleveraging obstacles continue to weigh on private demand;

3)  less effective spare capacity leads to earlier  wage/inflation pressure;

4)  Euro area risks resurface;

5)  and China financial/credit concerns becomes critical.

Five risks to our market view

Five key risks may affect the mapping of our macro views into the market forecast:

1)  long-dated real yields rise more sharply;

2)  markets doubt G4 commitment to easy policy in the face of better growth;

3)  low risk premia create valuation challenges;

4)  margins compress more rapidly as wage share recovers;

5)  and EM assets benefit more from the DM recovery or suffer more from local imbalances.

la version longue (via ZeroHedge).

Note: Tous les trades sont discutés, annoncés et partagés en temps réel sur L'Académie des Graphs.

Sur le site public ici, Le portefeuille est mis à jour une fois par jour vers midi. Le portefeuille représente mes convictions personnelles consolidées (de mes différents courtiers) et n'est pas pas une incitation à l'achat ni à la vente. Il s'agit de mon portefeuille dynamique donc agressif. J'ai un autre portefeuille bas de laine long terme diffusé exclusivement sur l'Académie des Graphs. Mon capital et mon horizon de placement sur chaque titre ne sont surement pas les mêmes que les vôtres. Le portefeuille est là pour partager avec vous en toute transparence mes convictions au quotidien mais n'a pas vocation à être suivi.

La performance annuelle inclus les gains ou moins values latentes des positions en cours. Cela inclus aussi les gains ou pertes de change sur les actions hors Euro (c'est reflété dans la perf de chaque action individuelle). Les éventuels retraits sont annoncés. La performance est donc en net.

Performance 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%...

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6 commentaires

  1. Les 5 frayeurs de Goldman Sachs

    A contre-courant de l’optimisme ambiant sur les perspectives des marchés et de l’économie pour 2014, les analystes de Goldman Sachs pointent cinq grands risques susceptibles de remettre en cause ce scénario. Des grains de sable potentiels dans les rouages de la machine.

    L’optimisme fait le consensus sur les marchés en ce début d’année. Normalisation, reprise économique, sortie de crise de la zone euro malgré des craintes d’entrée en déflation, hausse attendue des bénéfices des entreprises plaident en effet pour une poursuite de la hausse des grands indices boursiers dans le monde. Certains, cependant, sans pour autant craindre le pire, pointent des failles dans ce beau paysage. C’est le cas de Goldman Sachs. « Nous tablons sur la poursuite d’une progression harmonieuse entre les actions et les obligations, et privilégions les marchés des pays développés, qui devraient continuer d’offrir un coupe risque/rendement supérieur à celui des pays émergents », indique de prime abord la banque américaine. Il y a pourtant, selon ses analystes, cinq grandes raisons de s’inquiéter et autant de facteurs qui pourraient entacher, voire remettre en cause ce scénario favorable.

    Risque 1 : une remontée plus forte qu’escompté des rendements longs dans les pays développés. C’est certainement le plus important pour la banque d’affaires américaine. « Les périodes où les rendements augmentent rapidement – même avec une forte croissance économique – ont tendance à affecter les marchés d’actions ». Le risque est d’autant plus fort quand cette hausse est liée à l’anticipation d’un resserrement de la politique monétaire, « comme on a d’ailleurs pu le voir dans la période mai-septembre quand la Fed a évoqué l’idée d’un tapering ».

    Risque 2 : les marchés pourraient douter de l’engagement des banques centrales dans leur politique accommodante. « En dépit de nos anticipations d’une politique accommodante de la Fed, une croissance plus forte va difficilement pouvoir contrecarrer les inquiétudes quant à tour de vis plus rapproché que prévu. » Les deux pays les plus largement visés sont les Etats-Unis et le Royaume-Uni, pour Goldman Sachs. Egalement cité, le Japon, qui pourrait ralentir le rythme de ses achats d’actifs compte tenu de la remontée actuelle de l’inflation.

    Risque 3 : la faible prime de risque. « Avec la croissance économique et le récent rally du marché, la prime de risque a fortement baissé et la valorisation des actions est maintenant devenue un obstacle (…) la perspective de retour sur investissement est maintenant plus faible qu’en 2013. »

    Risque 4 : Les marges pourraient se comprimer avec la hausse des salaires. « Nous anticipons que la hausse des prix sera plus élevée que les coûts de production, ce qui permet traditionnellement de maintenir ou d’améliorer les marges. Mais cela suppose que la hausse des salaires reste faible et que le marché du travail connaisse des ‘creux’ (…) Un redressement plus rapide que prévu sur le marché de l’emploi représente le plus grand risque pour les marges record. »

    Risque 5 : les pays émergents. « Le risque principal concernant toutes nos prévisions – et peut-être pour les marchés aussi – serait que les places émergentes enregistrent de meilleures performances que les pays développés (…) Il se pourrait que nous sous-estimions l’impact d’une amélioration de la demande dans les pays développés sur les économies émergentes », ce qui permettrait de soulager leurs équilibres budgétaires. Mais pour le moment, la remontée des rendements aux Etats-Unis et la moindre croissance économique de la Chine ne militent pas pour un tel scénario.

  2. désolé edd,

    en gros, la croissance aura ses limites et face à cela les entreprises ne pourront dégager autant de marges que ce que le marché espère + une consommation qui restera atone, sans parler du retour de la crise de l’euro et de la Chine,

    plutôt noir en somme

    • Julien, il y a les canards boiteux comme rod qu’il ne faut pas jouer et toutes celles qui font des ak à répétition, mais avec le pea pme il semble que les petites capi sont recherchez car en retard ou oubliées du fait quelles soient peu liquide comme tu l’expliques régulièrement et peu de fonds les trades. Mais dans le lot tu as des belles valeurs. qui continuent leur parcours sur la lancée de 2013 comme alpro, montupet, ingénico,, naturex solucom 30 etc.,.

      • oui Pascal tout à fait; tout n’est pas bon à acheter. j’apprécie notamment les canards boiteux certes mais avec des carnets d’ordres liquides pour rentrer et sortir facilement

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