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Ce que le cac 40 fera demain 25 avril 2013

En fin de semaine dernière je vous proposais le biseau descendant sur le cac 40 et un retour d’une opinion acheteuse au-dessus des 3660 points. Mais la hausse des deux derniers jours et surprenante de part sa force. Nous revenons donc en deux jours sur les 3840 points, sérieuse résistance. Mais nous avons franchis les 3710 puis 3730 puis enfin 3792 qui redeviennent des supports. La tendance de correction sur le cac 40 s’est donc achevée avec le passage des 3660 points puis s’est transformée en une nouvelle tendance haussière ne repassant les 3730 points. C’est donc sur ce niveau des 3730 points que je fixe mon point pivot. Ce qui veut dire que mon opinion est à l’achat au-dessus de ce niveau.Maintenant cela ne veut pas dire que le marché ne va pas souffler, surtout après une telle hausse et l’arrivée maintenant sur des résistances type plus haut.

Ce qui attire vraiment mon attention c’est que le marché est entrain de donner une pertinence toute particulière au biseau descendant sur le rsi.

Opinion haussière au-dessus des 3730 points. A court terme une consolidation devrait s’observer.

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Après avoir rebond sur le support, voilà qu’en deux jours nous sommes allés chercher le haut de l’oblique résistance. ce qui avec les 3840-3850 points me fait dire que l’essentiel du potentiel haussier est épuisé et qu’il faut s’attendre à une consolidation. Cette consolidation, je vais éviter de prendre des positions;

Le but est de voir ce que les haussiers ont dans le ventre, cette hausse était-elle un dernier sursaut d’orgueil ou préparons nous réellement les 4000 points… c’est la physionomie de la consolidation qui nous en dira plus.

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Sur le site public ici, Le portefeuille est mis à jour une fois par jour vers midi. Le portefeuille représente mes convictions personnelles consolidées (de mes différents courtiers) et n'est pas pas une incitation à l'achat ni à la vente. Il s'agit de mon portefeuille dynamique donc agressif. J'ai un autre portefeuille bas de laine long terme diffusé exclusivement sur l'Académie des Graphs. Mon capital et mon horizon de placement sur chaque titre ne sont surement pas les mêmes que les vôtres. Le portefeuille est là pour partager avec vous en toute transparence mes convictions au quotidien mais n'a pas vocation à être suivi.

La performance annuelle inclus les gains ou moins values latentes des positions en cours. Cela inclus aussi les gains ou pertes de change sur les actions hors Euro (c'est reflété dans la perf de chaque action individuelle). Les éventuels retraits sont annoncés. La performance est donc en net.

Performance 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%...

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Un commentaire

  1. Pour prédire le cours des actions, plus besoin d’éplucher les bilans des entreprises, de suivre les avis des experts ou de devenir un exégète des discours des banquiers centraux. Une simple recherche Google suffit. Ou presque. Selon une étude publiée jeudi 25 avril dans les rapports scientifiques de Nature, une stratégie basée sur les requêtes des utilisateurs dans le moteur de recherche pour certains mots peut se révéler juteuse. Explications.

    Tobias Preis, de la Warwick Business School, Helen Susannah Moat, de l’University College London et H. Eugene Stanley, de l’université de Boston, ont analysé les changements de fréquence dans les requêtes de recherche sur Google pour 98 termes (en anglais) liés à la finance entre 2004 et 2011. Parmi les mots choisis, on retrouve « recettes », « chômage », « crédit » ou encore « nasdaq ».

    Un profit de 326% avec le mot « dette »

    En suivant la tendance du nombre de requêtes Google pour le terme « dette » par exemple (que ce soit à la hausse ou à la baisse), les investisseurs auraient pu faire progresser leur portefeuille de 326% sur le Dow Jones entre 2004 et 2011.

    Il semblerait en effet que les recherches que font les utilisateurs sur internet soient des signaux faibles permettant d’anticiper les mouvements des marchés. Avant une chute des indices boursiers, les investisseurs sont préoccupés et vont chercher davantage d’informations sur le web avant de décider s’ils doivent ou non vendre leurs titres. Inversement, quand les doutes se font moins présents, le nombre de recherches sur les sujets financiers baisse, ce qui peut être le signal d’une prochaine remontée des marchés.

    Quelque part, c’est un peu comme si Google Trends se substituait au Vix comme indice de la peur. Quand certains termes financiers remontent dans les résultats de recherche, on peut s’attendre à une chute des marchés actions. Et quand ils baissent, à une future progression.

    A ce petit jeu, certains termes sont plus significatifs que d’autres, comme l’indique les auteurs dans une note supplémentaire. Des mots comme « cancer », « banques » ou « cash » sont bien plus à même de donner des indications que des mots comme « art » ou « conflit ».

    Réseaux sociaux et trading haute-fréquence

    De là à ce que des ordinateurs ultra-perfectionnés scrutent Google Trends pour passer des ordres en Bourse, il y a qu’un pas… qui est déjà pratiquement franchi. La sortie de cette étude coïncide en effet avec le piratage du compte Twitter d’Associated Press qui a fait plonger les marchés mardi dernier. Un faux message de l’agence de presse indiquait que deux explosions avaient eu lieu à la Maison Blanche et que Barack Obama avait été blessé. En deux minutes, le Dow Jones perd alors près de 145 points. Après un démenti officiel, les cours sont revenus à leur niveau quasiment immédiatement.

    A ce degré de réactivité, il y a fort à parier que ce sont des ordres informatisés qui ont pu causer une telle panique. Il faut savoir en effet que la majorité des ordres passés sur les marchés aux Etats-Unis le sont désormais en quelques millisecondes par des programmes informatiques, des algorithmes qui décident d’acheter ou de vendre. Le tout, sans aucune intervention de l’homme. C’est ce qu’on appelle aussi le trading haute-fréquence.

    Et les ingénieurs qui programment ces robots s’intéressent de plus en plus aux interactions des personnes sur les réseaux sociaux et sur le web. Dans une étude publiée en février dernier par le cabinet Colt, 63% des professionnels de la finance interrogés assuraient que la performance d’une action pouvait être directement liée au sentiment du public sur le titre dans les réseaux sociaux. Et en 2010, trois chercheurs américains avaient estimé que les mouvements du Dow Jones pouvaient être anticipés par l’humeur des internautes sur Twitter.

    source: challenge.fr

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