Et oui, il fallait bien que cela arrive un jour. demain je reprend du service comme bon nombre d’entre vous l’ont certainement déjà fait. L’occasion de faire le vide à l’occasion de deux voyages en Pologne et en Sicile. Je n’ai pas encore eu le temps de dépiler toutes les photos mais voici quelques clichés qui sont loin d’être les meilleurs, mais pour le moment je n’ose pas partir à l’assaut de la sélection de l’appareil photo. Ce sera donc pour le moment les photos prises du téléphone de Cracovie et de Taormina en Sicile un jour de mauvais temps (ce fut le seul :-) ). Pour celles et ceux qui ne connaissent pas je conseille vraiment la Pologne (Varsovie/Cracovie) et que dire de la Sicile (Palerme, Agrigente, Syracuse, Taormina et Cefalù) aux paysages époustouflants…prévoir le voyage en louant une voiture ou un scooter vaut vraiment le détour.
et une petite photo souvenir pour les actionnaires de Belvedere ;-)
Bref. Demain c’est la reprise :-)
Note: Tous les trades sont discutés, annoncés et partagés en temps réel sur L'Académie des Graphs.
Sur le site public ici, Le portefeuille est mis à jour une fois par jour vers midi. Le portefeuille représente mes convictions personnelles consolidées (de mes différents courtiers) et n'est pas pas une incitation à l'achat ni à la vente. Il s'agit de mon portefeuille dynamique donc agressif. J'ai un autre portefeuille bas de laine long terme diffusé exclusivement sur l'Académie des Graphs. Mon capital et mon horizon de placement sur chaque titre ne sont surement pas les mêmes que les vôtres. Le portefeuille est là pour partager avec vous en toute transparence mes convictions au quotidien mais n'a pas vocation à être suivi.
La performance annuelle inclus les gains ou moins values latentes des positions en cours. Cela inclus aussi les gains ou pertes de change sur les actions hors Euro (c'est reflété dans la perf de chaque action individuelle). Les éventuels retraits sont annoncés. La performance est donc en net.
Performance 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%...
Superbes photos Julien; BELVEDERE te suis, c’est un signe psy à prendre en compte ou pas lol
ou je suis Belvedere…au choix :-)
salut julien, content de te revoir parmi nous et surtout reposé,
a+ k2r
C’est une belle semaine qu’ont connue les marchés financiers, marquée par un retour des Bourses européennes dans les plus hauts niveaux de l’année et par une nouvelle progression à Wall Street. L’évolution du dossier syrien a permis aux investisseurs de revenir aux fondamentaux. Dans le même temps, une statistique du chômage américain marquant une reprise légèrement moins forte que ce qui était anticipé a rassuré quant à l’ampleur du resserrement de la politique monétaire de la Réserve fédérale.
L’avant-dernière semaine de l’été marque donc, avec une hausse des indices boursiers de 3% en Europe et de 2% outre-Atlantique, la continuation d’une conjoncture qui aura été à la fois calme et porteuse.
Les tendances se sont affirmées et ne se démentent pas : confirmation d’une croissance solide et progressive aux États-Unis, sortie de récession en Europe, développement de la reprise au Japon, reflux des émergents. La tendance boursière a particulièrement bénéficié d’une bonne résistance de la croissance américaine aux coupes budgétaires automatiques ainsi que, en Chine, d’une inflexion de la croissance moins marquée que ce qui était craint.
Le scénario qui se dessine est favorable aux actions, particulièrement aux actions européennes. Les marchés de taux d’intérêt ont anticipé sur l’inflexion à venir de la politique de la Réserve fédérale, mais, malgré les rendements atteints, la tendance reste durablement à une hausse des taux. On évitera les marchés obligataires, sauf dans des niches très particulières. Les portefeuilles seront investis entre 85 et 100 % en actions.
Du potentiel pour les financières européennes
Au sein des actions, le conseil est nettement en faveur des européennes. La hausse d’été est loin d’avoir effacé leur retard de valorisation par rapport aux américaines, du fait de révisions à la hausse des estimations des bénéfices 2014 -qui vont se poursuivre dans les prochaines semaines. Par ailleurs, les actions des secteurs concentrés sur la zone euro, notamment ceux qui ont été pénalisés dans la conjoncture précédente, présentent un gros potentiel de retard à rattraper. Les financières (banques comme assurances) constituent ainsi un axe d’investissement prioritaire, y compris pour les établissements de l’Europe du Sud.
Pour un joker, j’irais rechercher du côté des matières premières, en particulier les minières (en-dehors de l’or) qui ont amplifié la baisse des cours des métaux et pourraient rebondir à la faveur d’une simple stabilisation.
source: challenges.fr