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Prévision Bourse cac 40 pour la séance du 20 octobre 2014

Rebond de presque 3% aujourd’hui sur le cac 40 au lendemain d’une matinée chaotique ou nous avions vu les 3790 points, exemple même d’une capitulation. Ainsi les esprits sont à nouveau au vert et il est certain que les investisseurs que vous entendrait ce weekend retourneront également facilement leur veste. La semaine dernière le consensus était unanime, il n’y avait pas mieux qu’investir dans les actions. Hier, on parlait de la fin d’un cycle, et à partir de ce soir je vous mets mon billet qu’a nouveau on entendra parler d’un simple trou d’air et que les actions sont the place to be. Comme d’habitude la vérité est ailleurs et je ne peux que vous conseiller d’éteindre votre radio lorsque les marchés sont volatiles puisque les soi disant experts ne savent pas plus que vous où le marché va. Donc rebond aujourd’hui, cela fait du bien au moral. Mais au-delà de cela on voit que le cac 40 est revenu sur les niveaux post krack boursier de mercredi et jeudi. Je pense qu’entre 4030 et 4060 on a notre zone de résistance et qu’une consolidation pourra se mettre en place. Après le krack de mercredi et jeudi il ne faut pas croire comme par magie que les vendeurs vont disparaître facilement, il est certain qu’ils attendent le bon moment avec un point haut du rebond qui leur permettra de shorter à nouveau sans risque. En attendant donc le cac 40 est passé haussier au-dessus des 4010 avec comme objectif 4070. Sous 4010 on consoliderait le rebond de ces derniers jours, mais le rebond technique reste vivant tant que le cac 40 sera au-dessus des 3993 points. Par contre sous ces 3993, les vendeurs reprendraient la main et là impossible de savoir s’ils seront tranquilles dans leur consolidation ou s’ils corrigeront à nouveau comme des bourrins. Je pars du principe que dans la zone 3910-3930 nous avons constitué un support solide. Ce n’est que sous ce niveau que le marché se remettrait en mode krack. Pour le moment profitons d’un bon weekend, cette semaine se termine mieux que l’on aurait pu le penser encore hier midi. Alors bon weekend chers graphs.

PS: le rsi laisserait à penser qu’il existe une marge de hausse encore confortable vers les 4100 points. Ce qui est certain c’est que la zone 4060/4100 sera un repère à vendeurs et que tant que nous restons sous cette zone, la tendance long terme est baissière sur le cac 40 et donc toute reprise baissière et à garder dans un coin de sa tête. Et comme la semaine l’a démontrée, la volatilité est à nouveau là sur les marchés donc tout peut aller très vite.

analyse cac 40

Note: Tous les trades sont discutés, annoncés et partagés en temps réel sur L'Académie des Graphs.

Sur le site public ici, Le portefeuille est mis à jour une fois par jour vers midi. Le portefeuille représente mes convictions personnelles consolidées (de mes différents courtiers) et n'est pas pas une incitation à l'achat ni à la vente. Il s'agit de mon portefeuille dynamique donc agressif. J'ai un autre portefeuille bas de laine long terme diffusé exclusivement sur l'Académie des Graphs. Mon capital et mon horizon de placement sur chaque titre ne sont surement pas les mêmes que les vôtres. Le portefeuille est là pour partager avec vous en toute transparence mes convictions au quotidien mais n'a pas vocation à être suivi.

La performance annuelle inclus les gains ou moins values latentes des positions en cours. Cela inclus aussi les gains ou pertes de change sur les actions hors Euro (c'est reflété dans la perf de chaque action individuelle). Les éventuels retraits sont annoncés. La performance est donc en net.

Performance 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%...

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2 commentaires

  1. Le New York Times affirme avoir pris possession des « minutes » de la BCE couvrant la période mai 2012 – janvier 2013. La BCE n’a jamais rendu public ces documents où sont retranscrits les débats entre les gouverneurs des différentes banques centrales de la zone euro avant toute décision importante.

    La Fed, la Banque d’Angleterre et la Banque centrale du Japon rendent les « minutes » publics peu de temps après les conférences des banquiers centraux. La BCE, elle, attend 30 ans avant de les rendre publics. Or comme l’institution n’existe pas depuis aussi longtemps, aucun de ces documents n’a encore été dévoilé.

    Qu’apprend-t-on dans ces « minutes »? Sans surprise on y découvre les réticences de l’Allemand Jens Weidmann, patron de la Bundesbank, concernant les interventions de la BCE. Notamment lors de crise chypriote en 2012-2013.

    A cette époque, la Cyprus Popular Bank connaissait d’importantes difficultés. Elle avait besoin de beaucoup de liquidités et rapidement. Craignant un effet de contagion, la BCE a décidé d’intervenir pour éviter que la banque ne tombe en faillite.

    D’après les documents internes que s’est procuré le New York Times, Jens Weidman aurait fait savoir plus tard que la BCE aurait violé un des principes fondamentaux de la BCE: les banques au bord de la faillite ne doivent pas être renflouées avec de nouveaux prêts.

    La Banque centrale européenne a répondu ce vendredi 17 octobre par un communiqué en assurant avoir respecté toutes les règles.

    Par ailleurs, si le New York Times détient l’intégralité de ces documents, on pourra en savoir plus la fameuse phrase de Mario Draghi qui a sauvé l’euro en juillet 2012: « Nous sommes prêts à faire tout ce qu’il faudra pour préserver l’euro. Et croyez-moi, ce sera suffisant ».

  2. Les grandes banques ont vu leurs revenus de négoce augmenter de 12 % en moyenne au troisième trimestre.Elles épargnent encore des milliards de dollars en prévision de nouvelles amendes.

    Les traders de Wall Street reprennent des couleurs. Après douze mois atones, marqués par une volatilité désespérément faible, les voilà à nouveau pleinement occupés à exploiter les soubresauts du marché pour optimiser leurs profits. Leurs revenus de trading ont bondi de 12 %, en moyenne, au cours du troisième trimestre. La hausse atteint même 32 % chez Goldman Sachs. Les obligations, qui n’ont cessé de plomber les résultats depuis un an, redeviennent l’une des grandes locomotives des marchés. Chez Goldman Sachs, les revenus qu’ils génèrent ont flambé de 75 % sur les trois derniers mois. La hausse est également de 19 % chez Morgan Stanley, et de 11 % chez Bank of America. Les banquiers, qui se lamentaient sur leur baisse de profits en dénonçant le poids des nouvelles réglementations (réforme des produits dérivés, contraintes de capital, etc.), mettent donc leurs critiques en sourdine : « Les salles de trading sont incontestablement plus vivantes. Les banquiers gèrent mieux les nouvelles contraintes. Il y a un niveau de certitude qu’on ne voyait pas l’an dernier », commente James Kenny, trader chez JP Morgan.

    Les marchés, qui anticipent des hausses de taux aux Etats-Unis, sont surtout beaucoup plus volatils qu’au printemps. La semaine dernière en a donné le meilleur exemple : « Il y a trois mois, les banquiers étaient obsédés par l’absence totale de volatilité. Aujourd’hui, ils pensent qu’il y en a trop », résume Harvey Schwartz, directeur financier de Goldman Sachs. L’activité s’est encore intensifiée en octobre : le volume de trading observé pendant la première semaine du mois dépasse de 60 % celui de la précédente. On reste pourtant loin des sommets d’avant-crise. Et les banquiers conservent quelques sujets d’inquiétude, au premier rang desquels, les affaires juridiques.

    JP Morgan a annoncé, mardi, qu’il mettait de côté 1 milliard de dollars en prévision d’un accord avec les autorités britanniques sur les manipulations de devises – le fameux scandale du Forex qui a permis à des traders de maximiser leurs profits en passant des ordres massifs quelques minutes avant la fixation des devises. Le montant est faible comparé à ses bénéfices trimestriels (5,6 milliards de dollars), mais l’affaire risque de ternir à nouveau son image. Citigroup fait lui aussi état d’un gonflement de ses frais juridiques de 40 % sur un an.

    Compte tenu de ses erreurs passées, Bank of America reste le plus sévèrement sanctionné par les juges. Il a acquitté quatre des dix plus grosses amendes jamais payées par les banques aux Etats-Unis. Et il a payé plus de la moitié du montant total. Il a notamment versé une cinquantaine de milliards de dollars d’amendes au titre des « subprimes » immobiliers. Cela pèse évidemment sur ses performances : la banque a plongé dans le rouge au troisième trimestre, affichant une petite perte de 70 millions de dollars.

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