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Prévision cac 40: Un nouveau paradigme pour la rentrée

Comme vous pouvez le voir j’ai quelques difficultés avec le site. je m’en excuse donc et tente de faire le maximum pour résoudre cela le plus rapidement possible avec l’hébergeur. Ces prochains jours le site peut donc continuer de bouger mais je l’espère sans vous gêner davantage que cela, puisque toutes les fonctionnalités demeurent.

Reprenons donc maintenant le cours normal de publication et quoi de plus normal que de commencer par une analyse du cac 40 qui comme nous va faire sa rentrée. Une rentrée qui s’annonce mouvementée puisque le marché semble enfin rentrer dans l’incertitude et cela les investisseurs, ils n’aiment pas. En deux séance le cac 40 abandonne donc la majorité des gains du mois d’août.

Je vous avais laissé avec un article sur mon sentiment que la crise était loin d’être terminée, juste oubliée pour un temps…

Bien que hier en commentaire, j’annonçais prendre des positions en vente à découvert suite à la rupture des 4092 points, l’arrivée sur les 4008 points aujourd’hui m’a fait racheter mes positions. La baisse est certes justifiée, mais elle se fait trop brutalement et je penche donc maintenant pour une poursuite du rebond engagé en fin de journée. ce rebond toutefois, je ne le vois pas comme les précédents refaire toute la baisse mais au contraire faire un rebond technique de type pullback pour continuer la baisse. Les 3920 points seraient pour moi un objectif baissier à envisager.

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Mais gare à se prendre les pieds dans le tapis des bulls comme ce fut le cas début août. C’est pour cela que j’ai racheté mes vad et que j’attends de voir le comportement des haussiers dans ce rebond pour m’y repositionner. Mais le mal me semble fait.

Ainsi je reste baissier et renforcerai mes vente à découvert tant que le cac 40 évolue sous les 4060 points. Sous ce niveau, le rebond n’est que technique et un sentiment baissier prédomine.

analyse cac 40

Note: Tous les trades sont discutés, annoncés et partagés en temps réel sur L'Académie des Graphs.

Sur le site public ici, Le portefeuille est mis à jour une fois par jour vers midi. Le portefeuille représente mes convictions personnelles consolidées (de mes différents courtiers) et n'est pas pas une incitation à l'achat ni à la vente. Il s'agit de mon portefeuille dynamique donc agressif. J'ai un autre portefeuille bas de laine long terme diffusé exclusivement sur l'Académie des Graphs. Mon capital et mon horizon de placement sur chaque titre ne sont surement pas les mêmes que les vôtres. Le portefeuille est là pour partager avec vous en toute transparence mes convictions au quotidien mais n'a pas vocation à être suivi.

La performance annuelle inclus les gains ou moins values latentes des positions en cours. Cela inclus aussi les gains ou pertes de change sur les actions hors Euro (c'est reflété dans la perf de chaque action individuelle). Les éventuels retraits sont annoncés. La performance est donc en net.

Performance 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%...

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4 commentaires

  1. Bonjour Julien,

    J’espère que tu as passé de bonnes vacances.
    Je suis assez d’accord avec toi et pense que nous allons avoir un joli rebond très piégeux. Car soit il s’agit comme tu le penses d’un pullback avant une petite conso bien méritée, soit il s’agit d’une nouvelle vague de hausse.

    Ce qui m’inquiète (pour mon côté Bear) c’est que le CAC est terriblement bien orienté en hebdo. Et ce n’est pas la petite baisse de ces 2 derniers jours qui change grand chose, au contraire, avec l’appui sur le MM7.

    C’est encore pire en mensuel où nous sommes à 2 doigts d’ouvrir une sérieuse période de hausse.

    Bref, en ce qui me concerne, je vais m’orienter de plus en plus à la hausse et vais ranger mes griffes au placard !

    • salut Trankil, oui le repos est très important au final pour trader. Il ne faut pas hésiter à s’éloigner de temps en temps du marché

      je suis tout à fait d’accord avec toi, ce n’est pas parceque nous avons une conso actuellement que le marché haussier long terme est remis en cause et cela tant que nous évoluerons au-dessus des 3850 points.

      tu as raison donc de préciser qu’en long terme, le cac 40 demeure dans une configuration haussière nette qui pourrait le propulser sur 4170 puis 4320 points en objectif. La baisse actuelle n’est qu’une correction, qui ne serait suffire à elle seule à déstabiliser le marché haussier de long terme que nous connaissons

      au dessus des 3850, la vente à découvert doit donc rester pour jouer du court terme et moi-même n’hésiterai pas à revenir à l’achat si le marché me dicte ainsi.

  2. Les dérivés de crédits risqués font leur retour aux Etats-Unis après avoir quasiment disparu pendant la crise financière qu’ils ont contribué à créer, mais ils sont désormais adossés sur les crédits aux entreprises et non plus sur l’immobilier résidentiel. Ces produits financiers (Collaterized Debt Obligation, ou CDO) que le milliardaire Warren Buffett avait qualifiés « d’armes financières de destruction massive », étaient jusqu’à la crise très populaires et massivement adossés à des prêts hypothécaires américains, notamment à des prêts « subprime », octroyés à des ménages insolvables.

    Les CDO remplacés par les CLO

    Lorsque la bulle immobilière américaine a explosé en 2007, la valeur de ces titres dérivés s’est effondrée, entraînant des milliards de dollars de pertes pour les investisseurs et propageant la crise financière la plus grave depuis 1929. De 520 milliards de dollars en 2006, le marché des CDO a fondu à 4,3 milliards de dollars en 2009. Le marché des CDO a donc de facto disparu. Il a dans une certaine mesure été remplacé par les « CLO » ou « Collaterized Loan Obligation », des dérivés de crédits également, mais adossés à des prêts aux entreprises. Campbell Harvey, professeur de finance à l’université de Duke nuance cependant. Selon lui « il y a un redressement du marché mais il est très loin de retrouver les volumes atteints avant la crise ».

    Une porte-parole de l’organisation sectorielle Loan Syndication and Trading association (LSTA) explique qu’il y a eu 50 milliards de dollars de CLO émis depuis le début de l’année aux Etats-Unis » avec 70 milliards attendus pour l’ensemble de 2013, pour un total de 100 milliards de dollars dans le monde entier. L’activité en Europe est selon elle beaucoup plus marginale, avec seulement « 6 milliards de dollars de CLO depuis le début 2013 », ajoute la LSTA.

    Goldman Sachs, Morgan Stanley… toujours les mêmes

    Goldman Sachs, Morgan Stanley, Barclays et Citigroup font partie des banques les plus actives sur ce créneau. Citigroup a notamment structuré une vingtaine de contrats de CLO depuis le début de l’année.

    Pour Ruben Marciano, trader de la Société Générale, les banques françaises par exemple ne sont « pas très friandes de ce genre de produits, elles ont été un peu traumatisées pendant la crise ».

    Doper les rendements des fonds spéculatifs

    Les CLO fonctionnent chacun comme une petite entreprise, avec d’un côté du bilan les crédits de sociétés auxquels ils sont adossés, et de l’autre des « tranches » achetées par des investisseurs, dont le rendement varie en fonction du risque.

    La tranche « junior » ou « equity » est la plus risquée : c’est elle qui encaisse les pertes des premiers éventuels défauts de paiement. Elle est donc très prisée des fonds spéculatifs qui veulent doper leurs rendements. « Les taux d’intérêt sont encore relativement bas, on emprunte pour peu cher alors les gens recherchent encore le risque », explique Ruben Marciano. Mais les taux ont remonté ces derniers jours.

    Vient ensuite la tranche dite « mezzanine » puis la tranche « senior », la moins risquée, prisée des assureurs et des banques. Le problème est qu’avant la crise, les tranches senior de beaucoup de produits structurés immobiliers bénéficiaient d’excellentes notes de la part des agences de notations, et que des investisseurs les ont achetées les yeux fermés. Sans parler des banques qui décrivaient de façon douteuse des produits bien plus risqués qu’elles ne l’avouaient à leurs clients.

    On ne se fie plus autant qu’avant aux agences de notation

    « Mais quand tous les actifs sont corrélés, à l’instar des prêts hypothécaires tous liés au même marché immobilier, plus rien n’est sûr, même la tranche senior », explique un analyste spécialisé d’une grande banque britannique. Pour lui, les CDO eux-mêmes ne sont pas risqués tant que les actifs sélectionnés ne sont pas tous corrélés au même marché, mais les CLO sont plus sûrs car ils regroupent des prêts à des entreprises de différents secteurs, dont les risques évoluent différemment.

    L’analyste souligne en outre que les acheteurs de ces produits sont désormais prudents et tendent à embaucher des spécialistes indépendants pour évaluer les CLO, sans se reposer sur les agences de notation.

    Si les CDO adossés à des prêts hypothécaires ont disparu, Ruben note qu’il reste un marché secondaire actif depuis la crise. « Il y a des gens qui ont acheté des titres de mauvaise qualité très dévalués et comme tous n’ont pas fait défaut, certains ont gagné beaucoup d’argent » explique-t-il.

    En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/economie/les-derives-de-credits-risques-sont-de-retour_399020.html#Gv1Eio66bcFfBI8S.99

    source: l’expansion

  3. Cette année encore, les Terriens vont continuer à creuser leur « dette écologique » estime une ONG: en huit mois, nous avons déjà épuisé l’équivalent des ressources naturelles que peut produire la Terre en un an sans compromettre leur renouvellement et allons donc devoir finir l’année « à crédit ».

    Alimentation, matières premières mais aussi absorption des déchets et du CO2… L’ONG Global Footprint Network calcule chaque année le jour de l’année où la consommation de l’humanité en ressources naturelles excède ce que la nature est capable de régénérer en un an sans entamer son capital.

    Un « Overshoot Day »

    Ce « Jour du dépassement », ou « Overshoot Day », tombe cette année ce mardi 20 août, selon l’ONG basée aux Etats-Unis et présente en Europe et au Japon. Jusqu’au 31 décembre, les humains vont donc vivre en puisant dans les stocks eux-mêmes, ceux de poissons par exemple, déjà surexploités, ou en polluant davantage, notamment en accumulant dans l’atmosphère du CO2 responsable du réchauffement climatique.

    A la mi-novembre dans les années 80, en octobre dans les années 90, en septembre dans les années 2000… Cette date symbolique et approximative, qui était intervenue le 23 août en 2012, tombe de plus en plus tôt chaque année. Signe, selon l’ONG, du niveau de vie de moins en moins soutenable de Terriens de plus en plus nombreux.

    Besoin d’une planète et demie

    Si la Terre a été pendant très longtemps à même de répondre aux besoins des hommes sans s’épuiser, le « seuil critique » a été franchi dans les années 70 avec la hausse de la consommation et de la population, rappelle Global Footprint Network, créé en 2003. Et notre « dette écologique » n’a depuis cessé de grossir.

    Au point qu’il faudrait aujourd’hui… 1,5 planète pour assurer de façon durable les besoins des habitants de la Terre pendant un an, souligne de son côté le WWF, associé à l’opération.

    Si chaque habitant de la planète vivait comme un résident moyen des Etats-Unis, ce sont mêmes 4 Terres qui seraient aujourd’hui nécessaires. Si chacun adoptait le niveau de vie d’un Chinois, ce serait moins mais notre seule planète n’y suffirait déjà plus (1,2 Terre).

    « Aujourd’hui plus de 80% de la population mondiale vit dans des pays qui utilisent plus que ce que leurs propres écosystèmes peuvent renouveler », avertissent les deux associations.S’ils ne dépendaient que de leurs propres frontières, les Japonais auraient ainsi besoin de sept Japons pour une consommation « durable », les Suisses ou les Italiens de quatre pays et la France de 1,6 Hexagone…

    Deux faces d’une même pièce

    Globalement, « nous sommes sur une trajectoire où nous allons avoir besoin des ressources de deux planètes bien avant le milieu du XXIe siècle », redoutent les défenseurs de la planète.

    Une « dette écologique » grandissante qui, à l’image de la dette financière des pays, est difficilement tenable plus longtemps, estime Alessandro Galli, directeur régional de Global Footprint Network pour l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient: « Les déficits écologique et financier sont les deux faces d’une même pièce. Sur le long terme, les pays ne peuvent faire face à l’un sans s’intéresser à l’autre », dit-il dans un communiqué.

    (Avec AFP)

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