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Watch list action graphseo bourse au 9 septembre 2014

Comme vous avez pu le dire dans l’analyse du cac 40 de la séance du jour je penche plus pour une poursuite de la consolidation du CAC 40 et du marché dans son ensemble. Je crois possible encore 1% de baisse. Dans cette optique j’ai donc intégré à la watch list des positions en vente à découvert sur les actions Safran, Alcatel et CGG. Pour ce qui est de CGG je suis motivé par une consolidation nécessaire suite à l’envolée sous forme de rebond ces derniers jours vers le test de la moyenne mobile à 50 jours. pour moi, elle devrait pour le moment servir de résistance et permettre au titre CGG de souffler et de consolider vers une zone de fort support sur les 7,15-7,25 là où je pense reprendre le titre à l’achat suivant les conditions de marché pour viser beaucoup plus haut avec 8,60-9,10 en ligne de mire. Je suis motivé par le besoin des hedge funds de racheter leur pose à moindre perte. Donc une consolidation vers les 7,15-7,25 leur permettrait de sortir facilement avec un gain. Je pense que c’est cela leur stratégie après de forts vad ces derniers jours. ils visent une consolidation pour sortir, comme moi :-) Après à long terme je reste convaincu que CGG va installer une configuration fortement haussière.

watch list

Note: Tous les trades sont discutés, annoncés et partagés en temps réel sur L'Académie des Graphs.

Sur le site public ici, Le portefeuille est mis à jour une fois par jour vers midi. Le portefeuille représente mes convictions personnelles consolidées (de mes différents courtiers) et n'est pas pas une incitation à l'achat ni à la vente. Il s'agit de mon portefeuille dynamique donc agressif. J'ai un autre portefeuille bas de laine long terme diffusé exclusivement sur l'Académie des Graphs. Mon capital et mon horizon de placement sur chaque titre ne sont surement pas les mêmes que les vôtres. Le portefeuille est là pour partager avec vous en toute transparence mes convictions au quotidien mais n'a pas vocation à être suivi.

La performance annuelle inclus les gains ou moins values latentes des positions en cours. Cela inclus aussi les gains ou pertes de change sur les actions hors Euro (c'est reflété dans la perf de chaque action individuelle). Les éventuels retraits sont annoncés. La performance est donc en net.

Performance 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%...

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7 commentaires

  1. Bonsoir Julien,
    Si je t’ai bien compris, pour CGG depuis le 9 janvier 2013 le titre semble être en phase baissière d’après ta méthode d’analyse et aujourd’hui il a testé le croisement à la hausse de la moyenne mobile à 50 jours. D’où ton choix de VAD. Mais qu’est ce qui te fait penser que le titre va retester et même dépasser la résistance de la mm50, car pour en arriver là ou elle en est depuis 19 mois, il y a eu certainement déjà plusieurs seuils ou résistances comme celle actuelle à 6.46. Non?

    • en effet, sous la mm50 c’est toujours baissier. je pense que cette fois ci encore le titre va refluer au contact de sa mm 50 mais que cela sera certainement la dernière fois. pour savoir cela je me réfère au graphique en hebdo qui permet d’apprécier la tendance baissi_re du rsi sous une oblique baissière. on voit que nous sommes à la fin de la figure donc à la fin du mouvement. je pense que le reflux offert suite au contact MM 50 sera donc une opportunité denrentrer sur CGG pour un retournement long terme. Bien sur aucune certitude mais c’est mon opinion

      • Merci pour ta réponse Julien,
        Je ne sais pas si tu as réussi ta vad sur CGG aujourd’hui car il me semble que la journée a été compliquée pour cette valeur il me semble.

  2. Maurice Lévy de Publicis est le patron le mieux payé du CAC 40, avec une rémunération annuelle de 4,5 millions d’euros, révèle mardi 8 septembre une étude menée par le cabinet de conseil Spencer Stuart.

    Ses experts se sont notamment penchés sur la rémunération des dirigeants des groupes du CAC 40, en se fondant notamment sur les informations fournies lors des dernières assemblées générales.

    Avec une rémunération de 4,5 millions d’euros, le président du directoire de Publicis y apparaît comme le patron le mieux rémunéré devant celui de l’Oréal Jean-Paul Agon (4 millions d’euros), deLVMH Bernard Arnault (3,9 millions) et de Total Christophe de Margerie (3,5 millions).

    Parmi les « moins bien payés » du CAC 40, figure sans surprise le patron d’EDF Henri Proglio avec 450.000 euros, une somme qui constitue le plafond pour la rémunération fixe annuelle des « mandataires sociaux » des entreprises publiques.

    source: challenges

  3. « Souvent, les grands projets d’exploitation pétrolière, surtout en mer, prennent du retard et dépassent le budget prévu. De tels revers, bien que rarement dévoilés par les géants du pétrole, se matérialisent néanmoins par des retours sur investissement décevants.

    Le fiasco du Kashagan

    En 2000, l’immense champ pétrolier Kashagan, dans la partie de la mer Caspienne qui appartient au Kazakhstan a été découvert. Les réserves ultimes sont d’environ 13 milliards de barils de pétrole.

    La production aurait dû débuter en 2008. Elle n’a en fait commencé qu’en septembre 2013 – un retard de cinq ans – pour être arrêtée quatre semaines plus tard lorsque les gazoducs et oléoducs de 88 kilomètres reliant le champ au continent ont commencé à fuir, retardant la production jusqu’à mi 2016.

    Royal Dutch Shell, un des actionnaires, n’a pas dévoilé cette information dans ses derniers résultats trimestriels. Toutefois, lors d’une récente conférence téléphonique entre investisseurs, Total S.A., qui détient une même participation de 16,81 % dans ce projet, a indiqué que le nouveau retard de production entraînerait une diminution d’un milliard de dollars dans ses prévisions de flux de trésorerie. Aucun des associés n’a diffusé le montant des coûts supplémentaires.

    Cette industrie doit aussi affronter des risques politiques et de sécurité. Dernièrement, il était par exemple difficile ou impossible de mener des affaires en Irak, au Nigeria, en Lybie, Syrie et Egypte alors que la Russie et l’Iran doivent faire face à des sanctions.

    Les majors sont trop grandes

    La taille même des principaux acteurs du pétrole joue également contre eux en matière de croissance. Les niveaux de production de la plupart des champs pétroliers augmentent fortement la première année, puis stagnent et diminuent ensuite progressivement.

    Une grande partie des champs pétroliers des grandes entreprises sont en phase de maturité (c’est-à-dire sur le déclin), c’est pourquoi essayer d’accroître la production revient à courir sur un escalator dans le mauvais sens – vous vous agitez beaucoup pour finalement ne pas bouger.

    Pour illustrer ce phénomène, la production combinée des quatre plus grands acteurs européens – à savoir BP, Royal Dutch Shell, Eni et Total – était de 10,24 millions de barils équivalent pétrole par jour (boe/d) en 2013. Chiffre quasiment identique à leur production combinée en 2000 (10,17 million de boe/d) et 14 % de moins que le pic atteint en 2004 (11,9 millions de boe/d).

    Cette stagnation n’est pas propre à l’Europe. ExxonMobil et Chevron, les leaders du secteur aux Etats-Unis, ont un profil uniforme similaire et sont affaiblis par leur portefeuille de champs en phase de maturité.

    Le potentiel du schiste

    Toutefois, le point positif du secteur a été la reprise de la production américaine de brut engendrée par la croissance de production à partir de schiste. Depuis une baisse à 5 millions de boe/d en 2007, la production du pays a augmenté de 60 %, dépassant un rythme de 8 millions de boe/d plus tôt cette année.

    Le schiste possède bien des avantages comparé aux champs classiques. Par exemple, les risques associés au forage dans les réserves connues des principaux bassins américains sont proches de zéro. Géologiquement, il se compose comme un mille feuille ; les entreprises n’ont donc pas besoin de détecter les pièges à pétrole traditionnels (anticlinaux, blocs faillés, etc), qui peuvent donner lieu à des puits secs quand on les fore.

    Lorsqu’un puits de pétrole de schiste est foré, une grande partie de la récupération totale du puits est produite en peu de temps. Si l’on utilise la langue des marchés obligataires, le flux de revenus est de courte durée (c’est-à-dire à risque faible), comparé à une durée plus longue (ou un risque plus élevé) pour un puits classique, laissant ouvertes les opportunités de croissance continue.

    Par exemple, l’Apache Corporation, le quatrième plus grand producteur de pétrole au Texas, a revendu ses champs de production de pétrole et de gaz internationaux pour se concentrer sur ses actifs à domicile, notamment en raison de pressions d’actionnaires activistes. Ce processus a entraîné une réévaluation des actions d’Apache, une tendance qui devrait continuer.

    Tout le secteur en profite

    Le boom du pétrole de schiste profite également à Schlumberger– le plus grand fournisseur au monde de solutions pour les groupes pétroliers. Il possède d’excellents antécédents en matière de croissance et a, lors de son dernier « Investor Day », défini des prévisions ambitieuses pour 2017. Le groupe prévoit une croissance de ses résultats de 17 à 20 % par an, un retour sur capital de plus de 20 % et une trésorerie disponible solide.

    Le groupe, qui investit plus d’1 milliard de dollars par an en recherche et travaux d’ingénierie, compte sur les nouvelles technologies issues de cette activité pour participer à hauteur de 25 % à ses résultats d’ici 2017. Les marges croissantes de cette nouvelle activité devraient dépasser 40 % en raison du prix élevé qu’ils pourront justifier.

    Gardant ces éléments à l’esprit, on peut s’attendre à ce que certaines entreprises exploitant le schiste attirent des investisseurs à la recherche de croissance du capital. De même, les investisseurs à la recherche de dividendes continueront de se tourner vers les grands groupes pétroliers pour des investissements relativement sûrs. »

    source : challenges

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