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Pas de changements sur la watch list graphseo bourse. Je conserve toujours les positions de vente à découvert, faut de temps aujourd’hui pour trader et de toute façon face à un marché extrêmement calme en consolidation quasi à plat. Bravo à Cris pour le bon coup du jour avec Pages Jaunes. Le marché a en effet favorisé ce rebond sur la moyenne mobile avec un rebond technique fort appréciable au passage. Plus on est nombreux et mieux nous pouvons suivre l’ensemble du marché. Continuons ainsi :-)
Ne loupez plus une seule opportunité pour investir à moindre risque en recevant la newsletter de Graphseo bourse
PS: Tous mes investissements sont partagés en temps réel sur L'Académie des Graphs. Le portefeuille représente mes convictions personnelles consolidées (de mes différents courtiers) et n'est pas une incitation à l'achat ni à la vente. La performance en cours inclus les gains ou moins values latentes et l'impact du change sur les actions étrangères. Performance 2024: +41%; 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%, 2012:+9%, 2011:-11%... Clique-ici pour découvrir l'Académie des Graphs où je t'accompagne au quotidien, partage mes positions et portefeuilles dynamique et long terme en temps réel.


1. Capital nécessaire: Divisez votre capital en 10 parts égales et ne risquez jamais plus d’un dixième de votre capital sur un trade.
Faîtes ce que je dis pas ce que je fais !
Oui, et alors :D
Bonsoir suat,
En effet vois avez raison de le remarquer mais laissez moi en expliquer la cause.
Sur graphseo certains lecteurs sont novices et d autres aguerris.
Ceux qui sont aguerris s interessent a la stratégie et donc a du factuel. Ce que je procure via la gestion d une watch list.
Les articles de fond surtout dans la catégorie qui intéresse les novices se doivent d etre rédigés pour ces memes novices. En cela donc oui je conseille de fragmenter son portefeuille en dix lignes.
Maintenant si vous parcourez des articles sur la strategie rt donc plis pour des investisseurs aguerris vous lirez que je conseille une fois la connaissance acquise de s exercer a ne trader que quelques lignes, jamais plis de 8, ma préférance etant jamais plus de 4 afin d obtnir une specialisation et réactivité necessaire poir le trader
merci Julien -:) J’en ai profité sur pages jaunes également; en revanche, poncin yachts est bien « lourde », mon achat à plage 1.06/1.07 ne s’est pas déclenché. Lorsqu’une action est peu liquide, c’est assez compliqué à « décoller »…(et encore pony ne figure pas parmi les plus illiquide…ça vend assez facilement cependant, j’ai pas revu la config de ce soir°
Bonjour,
Questions :
Retrouve-t-on la stratégie du moindre risque dans le Petit traité de l’Investisseur en Bourse ?
La Stratégie du Moindre Risque sera-t-il prochainement proposé sur Amazon ?
Sky.
C’est le contraire Sky. On retrouve le petit traité de l’investisseur dans la stratégie du moindre risque. Et non je ne propose pas la stratégie du moindre risque en format kindle. Néanmoins elle existe en format ebook directement sur le site http://graphseobourse.fr/strategie-de-trading-pour-gagner-en-bourse-au-moindre-risque/
Les grandes entreprises américaines conservent une plus grande part de leurs bénéfices à l’étranger, privilégiant les paradis fiscaux, au moment où Washington travaille à combler les failles de la fiscalité des entreprises, rapporte le Wall Street Journal (WSJ), lundi 11 mars.
L’étude par le quotidien de 60 grands groupes américains a révélé qu’ils possédaient ensemble à l’étranger un total de 166 milliards de dollars en 2012.
Plus de 40% de leurs bénéfices annuels ont ainsi échappé à la fiscalité américaine, selon le WSJ.
5 milliards chacune en 2011
Chacune des 60 entreprises choisies pour l’étude détenait au moins 5 milliards de dollars offshore en 2011.
Parmi elles, Abbott Laboratories, dont les bénéfices non taxés détenus à l’étranger ont augmenté de 8,1 milliards de dollars, à 40 milliards. Une hausse qui dépasse le bénéfice net de 6 milliards du groupe.
Le conglomérat industriel Honeywell International a quant à lui accru ses réserves de revenus non taxés détenus par ses filiales à l’étranger de 3,5 milliards, à 11,6 milliards, une progression égale à son bénéfice net hors un ajustement lié aux retraites.
Cette pratique est, selon le journal, le résultat d’une réglementation américaine sur la fiscalité qui autorise les entreprises à ne pas payer d’impôts sur les bénéfices gagnés par des filiales à l’étranger si l’argent n’est pas rapatrié aux Etats-Unis.
(Avec AFP)
L’institut Destatis, équivalent de l’Insee en Allemagne, est formel. En 2012, le coût horaire moyen d’un salarié a augmenté de 3%. Une progression qui a permis aux Allemands de gagner en pouvoir d’achat. L’an passé, l’inflation s’est limitée outre-Rhin à 2%.
Déjà en 2011, les augmentations accordées aux salariés avaient fait grimper de 2,8% le coût horaire brut moyen d’un salarié. Ce qui n’est pas sans inquiéter le patronat allemand. En deux ans, l’indice moyen du coût de main d’oeuvre (qui intègre des éléments non directement liés au salaire) évalué par Destatis a gagné 5,5%, tous secteurs d’activité confondus, bien au-dessus la moyenne européenne.
Entre 2005 et 2009, la modération salariale avait fait stagner le pouvoir d’achat
La comparaison avec la France (voir graphique ci-dessus) est également intéressante. L’Insee ne publiera que début avril ses propres chiffres pour le dernier trimestre 2012, mais si l’on se fie aux données du 3e trimestre, il y a fort à parier que la progression de l’indice du coût de la main d’œuvre sera alors devenue plus forte en Allemagne qu’en France, du moins si l’on prend comme base le 1er janvier 2008, date depuis laquelle les données collectées par les instituts statistiques nationaux ont été unifiées et sont donc comparables.
Pour autant, l’Allemagne ne fait là que procéder à un rattrapage. Selon les données officielles, les salariés ont globalement vu leur pouvoir d’achat stagner à partir de 2004, date à partir de laquelle les réformes -dites Hartz IV- engagées par le chancelier social-démocrate Gerhard Schröder ont commencé à produire leurs effets. Ce n’est qu’à partir de 2009, que la capacité à consommer et/ou à épargner des salariés allemands a de nouveau augmenté.