C’est une étude très sérieuse de la York University qui l’affirme: Investir en bourse quand il fait froid rapporte beaucoup d’argent. Cela rejoins le très connu dicton sell in may and go away et la saisonnalité de la bourse. En effet statistiquement les meilleures performances en bourse se font du moins d’octobre au moins d’avril. Il s’agit donc de l’hiver et des mois les plus froids. Il est donc logique que l’étude fasse le rapprochement de la météo avec la saisonnalité. Mais surtout il faut faire le rapprochement avec l’économie des entreprises et le fait que souvent pendant l’été de juin à août, il n’y a pas grand chose en statistiques et résultats de sociétés à se mettre sous la dent. c’est donc souvent pendant l’été que les investisseurs décident de souffler et de faire corriger les actions des excès passés à la sortie de l’hiver. il y a de fortes chances que nous assisterons à la même chose cette année. Maintenant il s’agit de statistiques, et donc il existe des exceptions qui sont souvent dues à des événements externes comme des guerres ou des paix ou encore des décisions de banques centrales.
« Selon eux, les hivers particulièrement vigoureux, et surtout les jours en dessous de la moyenne de saison, sont ceux où les retours sur investissement sont plus élevés. Résultat: en prenant en compte la météo de 5 à 9 heures du matin dans la région des Bourses en question, les auteurs estiment qu’ils auraient pu obtenir un retour de 25%.
le rendement moyen annualisé de la Bourse de New York les jours ensoleillés serait de 24,8% contre 8,7% les jours nuageux. Le phénomène s’inverserait cependant en cas de canicule. Mais l’étude ne tenait compte « que » de 26 pays, de 1982 à 1997.
source: bfm
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