Le nucléaire n’est pas mort et même s’il souffre d’une forte idéologie à son encontre par Marine Tondelier EELV plus récemment encore, il n’en reste pas moins l’énergie la plus décarbonée pouvant répondre à un monde en demande croissante et constante d’énergie.

Le nucléaire n’est pas mort

Car qu’on se le dise, même si on entend partout parler de baisse de la démographie, même en Chine, le monde lui va continuer de voir sa population croître. Une population énergivore et qui pour la majorité à envie de consommer comme l’occident et n’acceptera pas de ne pouvoir polluer comme il l’a fait pendant l’après guerre.

Mais saura dans un monde plus conflictuel que jamais, s’attacher l’indépendance stratégique que le nucléaire revêt. Si nous ne le faisons pas, d’autres, ne se gêneront pas et le font déjà.

Bref, on a cru enterrer le Nucléaire pendant des années. Mais aujourd’hui la techno est plus sûr que jamais. On range au placard la problématique de l’erreur humaine. Mais tout cela est toujours ancré dans la tête des gens et certains politique ne se privent pas de l’utiliser pour obtenir des voix.

Mais voilà, le parc est vieillissant et cela ne prend pas deux jours pour construire les centrales de nouvelle génération. Un choix stratégique doit se programmer et se penser à l’avance.

Exit également la fusion. C’est l’avenir mais cela ne sera pas prêt massivement avant des décennies.

La guerre en Ukraine rabat un peu plus les cartes de L’Uranium

En attendant, beaucoup de pays ont bien compris que l’indépendance stratégique passait par l’indépendance énergétique. Le renouvelable c’est bien mais il y’a des périodes où ça produit zéro. Il faut donc bien toujours un mix énergétique capable de pouvoir répondre à la demande pendant les zones creuses.

Le nucléaire hier comme aujourd’hui est le choix le plus rationnel qui existe. Celui qui permet de maintenir un coût de l’énergie bas et la meilleure utilisation des ressources pour la quantité d’énergie produite in fine.

Alors on dira que l’on n’a pas d’Uranium et que donc, on ne peut être indépendant tout comme avec le pétrole, le gaz naturel ou encore le lithium contenu dans les batteries électriques.

On remplace une dépendance par une autre en allant vers la transition énergétique.

Avec l’Uranium, c’est aussi le cas. Mais la différence c’est que les ordres de grandeur permettent d’acheter, entreposer et stocker plus facilement de l’uranium en quantité suffisante pour obtenir cette indépendance pendant des années.

Le nucléaire, une stratégie d’indépendance

Aujourd’hui l’occident réfléchit à imposer des sanctions supplémentaires sur l’Uranium Russe. Une dépendance, une autre. Mais on sait se tourner vers l’Uranium d’Afrique, d’Amérique du Nord et d’Amérique du sud. De nombreux acteurs existent. Mais il faut investir.

Après des années à taper sur le nucléaire, les prix sont tombés bas si bien que les entreprises ont peu investit. Aujourd’hui le surplus de demande car beaucoup de pays construisent beaucoup de centrales, les US, la Chine en premier lieu. Ce surplus de demande dans une moindre offre, a de quoi faire monter les prix durablement.

Voici donc pourquoi le nucléaire et plus précisément l’Uranium peuvent devenir un investissement éclairé ces prochaines années.

Et voici les entreprises et les actions à suivre pour investir dans l’uranium et dont je parle dans la vidéo.

Global X Uranium

Centrus Energy

Nexgen Energy

Denison mines

Cameco

Energy fuels

version podcast

amicalement

Julien