Pas grand chose à dire sur l’analyse graphique du cac 40 aujourd’hui. le plus important est de constater que le cac 40 s’est soutenu sur les 3680 points. Ce n’est pas innocent puisque du coup ce niveau, pivot, redevient un support de choix pour les haussiers. Du coup le marché donne maintenant plus la main au acheteurs. Il manque encore de pouvoir s’affranchir des 3750 points, mais dorénavant, les haussiers préparent le terrain pour aller chercher un nouveau test des 3790 points. Pour se couvrir de ce scénario haussier qui semble s’engager, il faut utiliser les 3680 points. toute re-cassure à la baisse de ce niveau relancerait une baisse et donc la continuation de notre yoyo de ces derniers jours.
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On remarquera que le volume revient, mais que cette hausse qui semble se préparer, manquera de force sur les indicateurs très probablement. Tout cela dans un biseau ascendant…alors dernière jambe haussière hypothétique et puis sell in may and go away ?
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Et hop on rajoute l’oblique baissière sur le cac 40 et les 3850 deviennent véritablement l’objectif de la hausse et le point de vente idéal…
clout bien « crade » aux us…c’est bien ce que je pensais au fond de moi, on est en plein début de trend bear; dorénavant, la force des bears se nourrit de l’espoir des bulls…on est tombé dans le panneau avec ce cac qui a surperformé ces derniers jours mais c’est pour mieux vendre le marché
A moins que notre porte-voix ne soit un diamant alors 3750 pourrait peut-être faire résistance…
Malgré les prévisions de Bruxelles confirmant que le déficit public (3,7% en 2013) manquerait l’objectif des 3%, François Hollande a maintenu le cap le 23 février, assurant vouloir « aboutir à un équilibre de nos finances publiques à la fin du quinquennat ».Comment y arriver ? « D’abord par des économies et subsidiairement par des prélèvements supplémentaires », a répondu le président, ouvrant la voie à 6 milliards d’euros de hausse d’impôts. Côté réductions de dépenses « dans tous les budgets », la Cour des comptes, elle, n’identifie « aucune réforme porteuse d’économies substantielles ». Comme le suggère Pierre Moscovici, la France devrait s’inspirer de la Suède, un pays qui a « modifié le périmètre de la puissance publique ». Et réduit en moins de vingt ans le poids de ses dépenses de 20 points de PIB. Sans renoncer à son modèle social protecteur.
Leçon n° 1: Exception
La France est devenue la championne des dépenses publiques, (56,3 % du PIB en 2012), seulement dépassée par le Danemark. L’Hexagone a augmenté ses dépenses d’1,2 point de PIB depuis 1993, alors que ses voisins européens les ont réduites de près de 3 points, en moyenne.
Leçon n° 2: Révolution
En 1993, en pleine récession, la Suède a lancé une cure d’austérité sans pareille en réduisant le nombre de fonctionnaires (- 21% en dix ans), les indemnités chômage et maladie, et en supprimant les aides au logement (2% de la richesse nationale). Résultat: le poids de la dette est passé de 80% du PIB, au début des années 1990, à 37% en 2012.
Leçon n° 3: Déconstruction
En Suède, la baisse des dépenses s’est faite par une réorganisation de la sphère publique, avec notamment la création d’agences autonomes qui ont repris les fonctions des ministères. L’organisation administrative, elle, est restée figée en France, la décentralisation ayant épaissi le millefeuille territorial.