Les vendeurs sont prêt à négocier et à baisser les prix. Les prix en agence ne montent plus et on peut facilement négocier le prix de départ. Les acheteurs reprennent la main et un pouvoir de négociation. Les prix sont ajustés à la réalité du marché selon les observateurs. plus en ligne avec le pouvoir d’achat des Français. En fin les taux des crédits immobiliers restent à des niveaux très bas, ce qui favorise encore le pouvoir des acheteurs. Autant d’éléments qui penser aux professionnels de l’immobilier qu’il est bien le moment d’acheter à nouveau. Le moment de négocier un prêt, ou de renégocier celui déjà prit. Bref, l’éternel débat continue. La situation semble en effet intéressante mais beaucoup de zones d’ombres perdure. Notamment le pouvoir d’achat et le profil des acheteurs. Les biens même si une marge de négociation existe restent encore trop chers et un endettement sur 25 à 30 ans est souvent nécessaire. Beaucoup de professionnels continuent de penser que le marché immobilier Français doit connaître lui aussi sa crise à l’espagnole avec encore une baisse des prix de 20%. Bref, difficile de s’y retrouver et de se faire une idée quant à savoir si c’est vraiment le moment d’acheter ou pas.

« L’environnement économique incertain fait de la pierre une valeur refuge et l’intérêt des Français pour l’immobilier est de nouveau bien concret. Nous battons tous les records en mars en termes de visites sur nos sites, d’envois d’alertes qualifiées, et nous voyons même le nombre de contacts envoyés à des vendeurs augmenter de près de 40% par rapport au même mois de 2013 ! » analyse Roland Tripard, Président du directoire du groupe SeLoger.