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Le vrai problème pour la bourse n’est pas celui qu’on croit

Au-delĂ  des taux, la vraie problĂ©matique est l’inflation. Il faudra regarder les core CPi et s’attendre Ă  ce qu’ls reviennent aux niveaux de 2018. On se souvient, la FED avait alors dĂ©marrĂ©e un resserrement monĂ©taire qui n’avait pas fait long feu. Pour le moment, pas de peur d’inflation durable. Il faudra voir si la hausse des salaires voulue politiquement se poursuit, c’est un point qui peut mettre de l’huile sur le feu. Mais globalement le risque de voir une hyperinflation ou une inflation des annĂ©es 70 est très faible.

Et comme toujours la solution Ă  la hausse des prix est la hausse des prix. Si le prix des biens montent grâce aux taux bas permettant mĂŞme sans augmentation de salaire d’acheter plus grand. Alors cette hausse des prix finit par empĂŞcher les nouveaux acheteurs dans un monde de taux qui remontent mais sans remontĂ©e des salaires, d’ĂŞtre incapables d’acheter. La demande se rĂ©duit alors et fait baisser la pression sur les prix. C’est ce que l’on risque de voir arriver sur le marchĂ©s de l’immobilier. Alors certainement plus aux US qu’en Europe. La problĂ©matique est bien diffĂ©rente, le rebond Ă©conomique sera moins fort, moins de pressions inflationnistes et des taux qui remontent mais restent très bas autour des zero.

autre élément :

Les Fonds de pension dĂ©tiennent le gros de l’Ă©pargne des amĂ©ricains. et c’est en actions majoritairement. donc je doute que la fed laisse le marchĂ© en dĂ©crĂ©pitude, on a besoin de sauvegarder l’argent pour qu’il soit consommĂ© ou transmis aux plus jeunes et consommĂ©. sinon le risque est en effet de voir l’âge arrivant, de plus en plus d’amĂ©ricains vouloir la jouer safe en prenant de l’obligataire mĂŞme qui rapporte peu.

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Deux Ă©cueils Ă  cela. la fed qui devrait vouloir l’Ă©viter et contrĂ´ler le taux Ă  10 ans en achetant des obligs long terme; voire des etf actions. après tout il ne faut pas sous estimer que les banques centrales ont encore des cartouches et que si l’on veut de l’inflation pour rĂ©sorber la dette, on ne veut pas de taux qui remontent trop hauts trop vite pour ne pas que le poids de la dette devienne trop important Après tout, on a un backtest, le japon.

Après tout, il serait idiot d’avoir dĂ©pensĂ© tous ces milliards pour relancer l’Ă©conomie pour au final se tirer une balle dans la jambe. Donc c’est surtout autour de 2022 que la FED sera face Ă  un choix important quant Ă  redresser ses taux. D’ici lĂ , on espéère qu’on sera sorti du covid sans rechute et cela nous permettra de savoir si le rebond Ă©conomique de soulagement est durable ou juste une passade, comme l’inflation.

L’argument est de dire que ce sera durable bien entendu du fait que les US ont injectĂ© 4 fois plus de cash que lors de la crise des subprimes. Et cette fois, ce cash est directement distribuĂ© aux consommateurs. Donc contrairement Ă  tout ce que j’ai pu marteler pendant des annĂ©es post siubprimes contr el’effet inflationniste, ici il y’en aura un.

Mais il faut certainement l’amoindrir dans le sens ou Ă  ce stade tout cet argent a a peine permis de rĂ©sorber l’Ă©norme rĂ©cession que l’on aurait eu sans support. Donc il faut dĂ©jĂ  se sortir du covid, rouvrir l’Ă©conomie, ne pas avoir de rechute de covid l’annĂ©e fin d’annĂ©e 2021 pour enfin se dire que l’on devra entrevoir de l’inflation durablement et encore certainement pas des niveaux foufous.

Donc on comprend toute l’attente voulue par la FED; on est sur une inflation anticipĂ©e et il va falloir attendre au grĂ© des stats de voir la rĂ©alitĂ©. Et tant que l’Ă©conomie n’est pas rĂ©ouverte, on peut peut savoir pour sĂ»r mĂŞme si on se fait une bonne idĂ©e.

Il faut prendre en compte que les Ă©conomies occidentales sont tertiaires, axĂ©es sur le service et les technos, hors tout cela est dĂ©flationniste par nature. Gains de productivitĂ©, et on fait plus avec moins. Les inĂ©galitĂ©s c’est dĂ©flationniste Ă©galement, sauf si bien sĂ»r on commence politiquement Ă  augmenter le salaire de base. LĂ  on repasse dans de l’inflationniste. On ne parlera pas du protectionnisme et de la dĂ©globalisation qui sont aussi des lames de fond inflationniste mais cela ne se fera pas du jour au lendemain.

Pour que l’inflation soit durable, au dela de la reprise Ă©conomique en mode soulagement, et donc que la pression des taux longs soit vivace, crĂ©ant une alternative, il faudra une hausse des salaires. Or Ă  ce stade, cela semble peu rĂ©aliste au-delĂ  de la hausse du salaire de base voulu aux US. On est sur une inflation de relance Ă©conomique, financĂ©e, aidĂ©e mais qui ne s’autoalimente pas par la hausse des salaires. Et cela, on ne pourra en savoir plus que sur 2022. Et avec une dĂ©mographie baissière dans l’occident, il sera difficile de voir une forte inflation mĂŞme avec tout ce dont on a parlĂ© plus haut.

Il y aurait pour certain une alternative obligataire.

Et c’est ce qui est le plus dangereux pour le marchĂ© actions. On le rappelle, mais actions et obligations se battent pour attirer els encours. Mais Ă  1,5-2% on est aux mĂŞmes niveaux qu’avant le covid. Pour le justifier on compare avec le niveau de dividendes du S&P 500 qui est donc une moyenne pondĂ©rĂ©e de 500 entreprises. Ces dernières annĂ©es, ce mix d’entreprises a Ă©tĂ© modifiĂ© pour intĂ©grer de nombreuses valeurs technologiques Ă  forte croissance mais qui pour se financer distribuent donc aucun voire peu de dividendes et qui noient donc cette moyenne.

Pour comparer, il faut regarder des valeurs values et cycliques qui offrent des perspectives de part la rĂ©ouverture Ă©conomique et en sus de leurs actifs tangibles protection en temps d’inflation. Ces valeurs distribuent actuellement en moyenne dans les 5% donc bien au-delĂ  des taux long terme et donc cela fait une prime de risque de 3%. On trouve mĂŞme facilement du 8-10% aujourd’hui et sans acheter un canard boiteux.

Je crois plus Ă  une rotation vers ces actions lĂ  que vers l’obligataire encore Ă  ce stade. De plus il faut prendre en compte que les entreprises ont rĂ©duit leurs dividendes et sauvegardĂ©es des montagnes de cash pour la crise covid, plus de dividendes seront distribuĂ©s grâce Ă  plus de visibilitĂ© post covid sans parler des rachats d’actions qu’il faut prendre en compte Ă©galement dans le calcul et donc ne pas se faire berner par un niveau de dividende fixe pour comparer avec les taux longs actuels. il faut se projeter.

Donc pour moi avant de voir une rĂ©allocation d’actions vers les obligations, il peut se passer bien du temps et surtout que les taux longs remontent bien plus. Or si l’on croit que l’inflation est vraiment Ă  nos portes et que les taux n’en sont qu’a leur dĂ©but de hausse, alors on ne va pas acheter de l’obligataire maintenant. Le prix des obligations ne ferait que baisser si la pentification de la courbe des taux continue. Et quand bien mĂŞme, on arrive Ă  2% voire au-delĂ , si l’inflation est vraiment si forte que cela, le rendement rĂ©el d’un obligataire aura tout de mĂŞme de grandes chances d’ĂŞtre ramenĂ© Ă  zĂ©ro voire nĂ©gatif. Sans oublier que la fed voudra surement intervenir si nous devions en arriver lĂ  en limitant la hausse de taux longs en achetant elle mĂŞme de la dette longue sur le marchĂ© avant de songer Ă  remonter ses taux courts tant que l’Ă©conomie ne sera pas remise. Donc les investisseurs obligataires n’ont certainement pas une bonne annĂ©e devant eux.

N’oublions pas Ă©galement que les obligations indexĂ©es sur l’inflation n’aideront pas vraiment. Notre histoire est assez peureuse quand il s’agit d’inflation. Ce que l’on voit depuis la nuit des temps, c’est qu’un gouvernement n’est jamais avare d’apprendre Ă  donner un nouveau mode de calcul de l’inflation pour en rĂ©duire sa rĂ©alitĂ©.

Pour ces raisons, mĂŞme si les taux continuent de remonter, je ne vois pas pourquoi un investisseur voudrait avoir de l’obligataire Ă  moins d’accepter des rendements très pauvres car on ne souhaite vraiment pas prendre du risque car on veut Ă©viter de le faire quand on est Ă  la fin de sa vie active. c’est le seul risque que je vois Ă  terme. On aurait pu croire justement que les investisseurs 65+ avec le krach covid auraient en effet switchĂ©s durablement sur l’obligataire pour se protĂ©ger mĂŞme si cela rapportait pas mais sans inflation toujours un peu. Et bien non, ils sont quand mĂŞme retournĂ© sur du risque.

Bref, personne n’a de boule de cristal et beaucoup d’encre est dĂ©pensĂ©e sur ce sujet. Le plus intĂ©ressant pour moi c’est que ceux qui n’avaient pas vu venir cette pression inflationniste/taux soient encore Ă©coutĂ©s aujourd’hui pour juger de la suite. Remarque ceux qui ont vu juste dernièrement devraient statistiquement se tromper Ă  l’avenir. Alors que ceux qui ont eu tout faux pendant des annĂ©es peuvent finir par avoir raison. C’est comme ça qu’on confond souvent compĂ©tence et chance et cause et causalitĂ©.

Le gros plus de ce qui se passe est ailleurs

L’avantage de cette hausse des taux c’est qu’elle permet d’assainir le marchĂ©, et ça c’Ă©tait nĂ©cessaire. La spĂ©culation avait fait atteindre des niveaux de valorisations stratosphĂ©riques a des sociĂ©tĂ© sans CA, sans profits, et parfois mĂŞme sans projet. Ces sociĂ©tĂ©s qui ont profitĂ© du levier des taux bas pour financer n’importe quel projet. On se rendra compte que beaucoup auront vendu du rĂŞve aux investisseurs. Investisseurs qui happĂ©s ces derniers temps par le greed is good, auront Ă  crĂ©dit financĂ©s une hausse exponentielle, spĂ©culative, bullesque et dans son Ă©clatement, une destruction de valeur.

Alors le prochain chèque covid ne va pas tarder. Donc il ne faut pas dire que la bulle a explosĂ©e et que c’est terminĂ© sur ces valeurs; Mais je pense que le plus important, c’est qu’on a Ă©normĂ©ment de liquiditĂ©s et qu’une autre bulle peut maintenant se former sur des valeurs plus concrètes, plus saines, et donc plus durables. C’Ă©tait l’objet de l’une de mes dernières vidĂ©os.

Je pense que c’est sain justement de faire exploser cette bulle lĂ . Car sur l’ensemble du reste du marchĂ©, cad des valeurs cycliques, value et des valeurs de croissance, technologiques mais qui ont une croissance Ă©levĂ©e et soutenable face Ă  l’inflation et hausse des taux donc un niveau d’endettement sain, on va avoir une rĂ©allocation du capital vers des projets plus concrets, et potentiellement plus crĂ©ateur de valeur, de croissance, de jobs et donc de consommation. Mais ça va faire monter l’inflation tout ça Julien ? squick, tout n’est que cycle mais il y’a une bonne et une mauvaise inflation, et le plus important dans l’histoire c’est la croissance. Si elle n’est pas au rendez-vous c’est lĂ  que ça devient problĂ©matique avec la stagflation. Donc au-delĂ  de la rĂ©ouverture Ă©conomique soulagement post covid, c’est lĂ  que la question se pose. Mais comme dit plus haut, je pense qu’on a encore le temps mĂŞme si le marchĂ© anticipe toujours.

Les sociĂ©tĂ©s avec des actifs tangibles offrent une protection contre l’inflation. On Ă©vitera les sociĂ©tĂ©s trop endettĂ©es, mais au-delĂ  de cela celles qui n’ont pas les perspectives pour soutenir cette dette. Celles qu’on acquiert facilement quand les taux sont bas et permettent de financer n’importe quel projet mĂŞme très peu rentable et donc peu crĂ©ateur de valeur pour la sociĂ©tĂ© et donc l’Ă©conomie. Cette rĂ©allocation du capital sera bĂ©nĂ©fique Ă  terme et permettra de nettoyer le marchĂ©. En cela, c’est sain. Et c’est ce que l’on voit sur le marchĂ©. Ce n’est pas une fuite totale, c’est une rĂ©allocation.

Il faudra faire attention à la hausse des coûts , prendre des entreprises dont la croissance va compenser ou qui peuvent répercuter cela au client final sans baisse de marge/CA. faire attention donc aux sociétés endettés, sans croissance, et avec une hausse des couts non répercutable.

L’or remontera en fonction des stats Ă©conomiques prouvant le retour effectif de l’inflation ou le degrĂ© de conviction du marchĂ© sur celle-ci.

Le niveau d’endettement dĂ©passe celui de la seconde guerre mondiale. Mais le Covid fut comme une guerre. Stoppant le commerce, transformant les entreprises en des producteurs d’armes ici masques, gels , vaccins. Et enfin, post guerre, il faut rĂ©adapter, relancer, reconstruire. Ce boom, apporte l’inflation. Mais on le voit sur le graphique suivant, cette inflation n’est pas forcĂ©ment durable. Et c’est en somme ce que semble croire la FED. Une inflation de contrechoc suivi d’un retour Ă  la normalitĂ© de notre sociĂ©tĂ© technologique dĂ©flationniste.

Quand on regarde l’inflation, on se rend compte que c’est une bĂŞte difficile Ă  apprĂ©hender. Mais elle aide Ă  gĂ©rer la dette, Ă  la rĂ©sorber naturellement et les banques centrales savent la gĂ©rer. Ce qui fait peur c’est qu’on la laisse faire un peu trop longtemps et comme les mesures des banques centrales mettent 6-9 mois Ă  avoir un impact, que celle-ci grimpe fort, et face surchauffer l’Ă©conomie mĂŞme temporairement. Ce qui fait peur au final ce n’est pas le niveau des taux ou de l’inflation, mais la peur que tout ceci monte en flèche, de manière non contrĂ´lĂ©e ou que le contrĂ´le mette trop longtemps Ă  arriver.

et pendant ce temps, le marché actions a gagné 17% en moyenne par an de 1945 à 1959

Le graphique ci-dessous dĂ©montre que la bourse anticipe. On anticipe la reprise Ă©conomique et donc on monte alors que les statistiques sont mauvaises. Puis on anticipe la surchauffe, la fin de la garden party et on baisse alors que les statistiques s’amĂ©liorent. Cela prouve deux choses. Que la bourse anticipe toujours et qu’elle a souvent raison malgrĂ© tous les cassandres. Au final personne ne croyait en une reprise en V, sauf le marchĂ©, et le V est bien maintenant ce qui semble faire peur en pensant inflation.

la bourse anticipe, on a fait monter la bourse sur des mauvaises nouvelles, on vend sur les bonnes

Mais comme dit plus haut, Ă  ce stade toute cette dĂ©pense d’Ă©nergie sur les taux et l’inflation crĂ©e bien une rĂ©allocation des actifs mais pas vers l’obligataire. il est trop tĂ´t, il faudra que els taux montent encore, que l’inflation se confirme dans les stats un temps. Ce que l’on voit c’est une rĂ©allocation vers les actifs capables de donner une protection contre l’inflation. Actifs tangibles donc dont on a dĂ©jĂ  parlĂ© ici et en amont ces prĂ©cĂ©dentes semaines.

ce n’est pas un retour vers l’obligataire que l’on voit

Ce n’est pas un retour vers l’obligataire que l’on voit

Mais une rotation sectorielle pour jouer réouverture et dividende entre 5 et 10% selon certains titres. Les taux ne peuvent encore rivaliser à leur niveau.

Le danger est toujours une question de flux. Les flux vont des valeurs technos vers les valeurs offrant une protection value et cyclique pour la reprise. Mais si les flux sortent avec trop d’empressement des valeurs technos, alors des annĂ©es de surpondĂ©ration dans les portefeuilles, et les achats Ă  crĂ©dit pour finaliser l’euphorie de ces derniers mois peuvent dĂ©clencher des effets boules de neige. La fameuse porte de sortie de la salle de concert qui n’a pas Ă©tĂ© agrandie. C’est lĂ  qu’une rĂ©allocation de secteurs peut se transformer en contamination Ă  l’ensemble du marchĂ©, quand on doit vendre mĂŞme ce qui marchĂ©, mĂŞme ce qui devrait profiter de la situation car on doit Ă©ponger de l’autre cĂ´tĂ© et rĂ©pondre Ă  des appels de marge. C’est de cette contamination qu’il faut se mĂ©fier sans pouvoir l’entrevoir avec certitude. Pour l’instant pas de panique sur cette correction. Les choses se font en ligne depuis novembre, peu Ă  peu.

Comme pour les taux, l’inflation et tout en bourse, ce n’est jamais la hausse ou la baisse qui fait vraiment mal aux marchĂ©s mais le cĂ´tĂ© soudain, rapide, violent qui pousse les Ă©lĂ©ments du château de cartes Ă  ne pouvoir s’adapter tranquillement et dĂ©clenche une crise de liquiditĂ©s. Et la liquiditĂ© c’est le nerf de la stabilitĂ© dans tout.

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La performance annuelle inclus les gains ou moins values latentes des positions en cours. Cela inclus aussi les gains ou pertes de change sur les actions hors Euro (c'est reflété dans la perf de chaque action individuelle). Les éventuels retraits sont annoncés. La performance est donc en net.

Performance 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%...

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