Toujours pas d’embellie notoire Outre atlantique au niveau des statistiques économiques. Alors que les marchés sont au plus haut de leur espérance, prudence recommandée. L’immobilier patine encore, et le moral des consommateurs reste bas ce qui fait cette phase post récession, la moins forte croissance de l’histoire des US…
L’indice S&P Case-Shiller des prix américains de l’immobilier pour novembre 2011 a chuté de 3,7% en comparaison de l’an dernier (indice Composite-20 des 20 principales zones métropolitaines), contre -3,3% de consensus hors ajustements saisonniers et après -3,4% en octobre. En comparaison du mois antérieur, l’indice 20-City a baissé de 1,3% hors ajustements saisonniers et de 0,7% après ajustements.
L’indice de confiance des consommateurs américains pour janvier 2012 est ressorti à 61,1 seulement, contre 68,2 de consensus et 64,8 en décembre 2011 (révisé de 64,5). L’indice du mois précédent traduisait un sommet de huit mois. Le moral des ménages américains est donc franchement retombé en janvier
L’indice manufacturier régional PMI de Chicago pour janvier 2012 est ressorti à 60,2, contre 63 de consensus et 62,5 rapporté un mois avant. Il reste nettement supérieur à la barre des 50 et signale donc l’expansion de l’activité. Cependant, il marque une décélération en comparaison de décembre 2011.
source boursier.com
