Alors que la France et le Royaume-Uni veulent réduire le nombre de réfugiés en participant à l’effort pour contrer L’état islamique en Syrie, la situation commence de plus en plus à ressembler à une poudrière alors que la Russie de Poutine masse un nombre conséquent de troupes. Les nations Européennes se retrouvent donc contraintes d’aider Assad pour contrer l’EI. Sauf que la Russie, elle, fut toujours un soutien affiché à Assad. Le ciel de la Syrie va donc être bien garni avec le risque certain d’accrochage militaire puis diplomatique. Alors que le cessez-le feu, cette illusion, en ukraine ne tient qu’a un fil, le conflit ouvert maintenant en Syrie pourrait bien déclencher un conflit ouvert. L’état économique de la Russie pousse Poutine à lancer son pays dans un effort de guerre. C’est bien pour cela, que des voix pour la suppression des embargos russes s’élèvent.

En tout cas la guerre médiatique est elle déjà lancée:

« First we were accused of providing arms to the so-called ‘bloody regime that was persecuting democratic activists’, » said Maria Zakharova, spokeswoman for the Russian foreign ministry.

« Now it’s a new edition – we are supposedly harming the fight against terrorism. That is complete rubbish. » 

Les Russes se défendent en annonçant être la seule nation à s’intéresser de près à endiguer l’essor de l’état islamique et à ne pas prendre des mesurettes en faisant voler deux avions au-dessus de la Syrie.

La situation en Syrie, commence donc à ressembler à un nouvel essor Russe comme en Crimée. Le laissez faire des pays occidentaux pourrait être bien dangereux, et l’évolution de ce conflit avoir un fort impact sur les prix des matières premières et donc l’évolution des actions.