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Prévision cac 40: oh hisse les 4000 et après le 17 mai 2013

Nous y voilà, le cac 40 aura prit son temps mais finalement aura atteint les 4000 points avec la résistance des 4008 points en butée. Depuis quelques jours, le cac 40 patine et l’atteinte des 4000 points, aujourd’hui, psychologique va être intéressant à suivre. D’un point de vue graphique tous les indicateurs sont en surchauffe. le CAC 40 s’essouffle et ne peut conserver cette dynamique exponentielle. De plus la FED commence à sortir des discours du genre on va réduire la voilure. Une fois intégrés, ces discours pourraient être déclencheurs d’une correction après une hausse des marchés ininterrompue depuis un mois. Maintenant il faut bien se rendre à l’évidence qu’au dessus des 3950 points, pas de signal vendeur, juste de l’anticipation, donc méfiance. Mais surveillez les 3950 points et surtout après l’atteinte des 4000 points, le fait que le cac 40 manque de jus dorénavant. A confirmer, mais la consolidation semble proche. Dommage, en étant impatient je suis parti 3 jours trop tôt…

A priori l’objectif de la consolidation sera 3837 points. là il conviendra de voir, si nous n’avons qu’affaire à une pause pour mieux repartir en mode berserk, où si le top est définitivement constitué et que nous rentrons maintenant dans une phase corrective vers 3730 points.

Tout cela reste à confirmer. Tant que 3950 reste support, les haussiers gardent la main malgré toutes les faiblesses qui s’accumulent.

analyse cac 40

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La performance annuelle inclus les gains ou moins values latentes des positions en cours. Cela inclus aussi les gains ou pertes de change sur les actions hors Euro (c'est reflété dans la perf de chaque action individuelle). Les éventuels retraits sont annoncés. La performance est donc en net.

Performance 2023: +38%; 2022: +46%; 2021: +122%; 2020: +121%; 2019: +79%; 2018: +21%; 2017: +24%; 2016: +12%; 2015: +45%; 2014: +30%; 2013:+72%...

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9 commentaires

  1. Nous sommes tous condamnés ! Nous sommes face à une gigantesque bulle du prix des actifs et une nouvelle crise semble inévitable. Quelle position les investisseurs devraient-ils adopter ? Comment faire pour repérer le moment où cette bulle sera sur le point d’éclater ?

    Interview de Marc Faber, un investisseur suisse à contre-courant.

    26-04-2013

    D’après vous, les prix actuels des actifs sont-ils le fidèle reflet des risques courus ?

    Non, certainement pas. Je crois que les prix des actifs d’aujourd’hui ont été déformés par des taux d’intérêt artificiellement bas. Quand les taux d’intérêt sont à zéro, il est difficile d’évaluer quoi que ce soit. Rien n’a de valeur réelle.

    Diriez-vous que l’assouplissement monétaire aux États-Unis a été au cœur des problèmes financiers auxquels nous sommes confrontés en ce moment ?

    Oui, l’assouplissement monétaire et les politiques monétaires expansionnistes de ces 30 dernières années, qui ont conduit à une croissance excessive du crédit, ont été un facteur majeur de l’apparition de la crise financière de 2007/2008 et du malaise qui continue à se faire sentir aujourd’hui. Mais je dirais aussi que les autres interventions des gouvernements et leurs mesures fiscales ont aussi eu un effet très perturbateur sur l’économie.

    Vous avez déjà eu l’occasion de dire que ces politiques expansionnistes reviennent à prendre une hypothèque sur les générations futures. Celles-ci vont-elles être capables de rembourser les dettes qui se sont accumulées ?

    Les générations futures ne vont jamais être en mesure de payer leurs dettes et les indemnités pour les retraités. Mais il existe aussi un autre concept : tout dépend de la manière dont vous utilisez la dette. C’est une chose que d’emprunter de l’argent pour construire une usine dont la production se traduit en flux de trésorerie et en bénéfices qui permettent de rembourser les intérêts de l’emprunt contracté, et de générer des liquidités excédentaires pour procéder à d’autres investissements. Mais c’en est une autre que d’emprunter de l’argent pour partir en vacances.

    Quelle est la solution ?

    La solution est de faire quelque chose de différent de ce que nous avons fait dans le passé. Sous l’influence des banquiers centraux d’aujourd’hui et des politiciens néo-keynésiens, nous nous trouvons dans un contexte de stimulation accrue, d’intervention gouvernementale accrue et de recours accru à la planche à billets. Autant de facteurs qui ont précisément conduit à la crise. Or il ne s’agit pas là du remède qu’il nous faut pour résorber la crise. La meilleure chose serait d’obtenir la démission des conseils d’administration de toutes les banques centrales. Il nous faut à la tête des banques centrales des gens qui assument la responsabilité monétaire.

    Que conseillez-vous aux investisseurs de faire ?

    Il faut bien vivre avec le fait qu’on est en train d’imprimer de l’argent. Cet argent va se frayer un chemin vers différents secteurs et différents marchés du monde entier. Il ne va pas se traduire par une volatilité plus faible, mais au contraire par une volatilité accrue. C’est comme cela que des bulles vont se créer au niveau du NASDAQ, de l’immobilier, des matières premières, des marchés émergents et des obligations d’États. Et maintenant, nous sommes confrontés à la bulle gigantesque de la dette souveraine. Les investisseurs doivent se diversifier et éviter d’acheter sur des marchés d’actifs qui sont devenus excessivement populaires.

    Nous en sommes encore à la phase d’assouplissement monétaire. Que va-t-il se passer ?

    Nous allons avoir une énorme crise systémique. La dernière fois que le secteur financier a fait faillite, celui-ci a été renfloué par les gouvernements. La prochaine étape consiste à ce que les gouvernements eux-mêmes fassent faillite. Avant d’en arriver là, ils se mettent à faire tourner la planche à billets à qui mieux mieux. Nous ne savons pas à quel moment la crise va éclater. Elle pourrait arriver demain, mais elle pourrait également se produire d’ici à trois, cinq ou dix ans. A la manière d’un ordinateur tombé en panne, il faudra procéder au redémarrage de l’économie mondiale. Mais avant cela, il est très probable que nous ayons des taux d’inflation élevés, peut-être un effondrement déflationniste et des guerres vont éclater. Nous sommes tous condamnés.

    Existe-t-il des indicateurs qui permettent de prédire à quel moment la bulle va éclater ?

    À mon avis, un indicateur a déjà déclenché un signal d’alarme très fort. Les prix des actifs sont à la hausse, mais le niveau de vie des ménages en Europe et aux États-Unis (et je ne parle pas des gens qui travaillent pour Goldman Sachs) est à la baisse. L’économie industrielle se porte mal. Le lien entre l’impression de monnaie et l’économie industrielle a déjà été rompu. Les riches achètent des résidences secondaires dans la région des Hamptons, des appartements de luxe à New York et Mayfair, des tableaux, de l’or… autant d’actifs absolument improductifs. Ils ne sont pas en train de faire construire une nouvelle usine. Ils ne sont pas en train de démarrer une nouvelle entreprise. Il ne se produit aucune création sur le plan économique.

    Pourquoi ne sont-ils pas en train d’investir ?

    Ils n’investissent pas à cause de l’excès de réglementation. Prenez par exemple « ObamaCare ». C’est un véritable cauchemar administratif. Les gens sont en train de réduire leur activité professionnelle. Les entreprises n’investissent pas aux États-Unis, mais elles rachètent d’autres entreprises et réduisent leurs effectifs. Elles procèdent à des licenciements.

    Prédisez-vous une révolution si les inégalités entre les revenus continuent de se creuser ?

    Quand les masses les plus pauvres deviennent plus puissantes que les quelques nantis, on fait payer les riches. Généralement, l’histoire a résolu ce problème soit par la redistribution, en ayant recours à l’impôt, soit par la révolution. Le plan de sauvetage de Chypre n’est que le début : il faut que les riches payent plus que les pauvres. À Chypre, il existe un élément social où ce sont les riches qui sont blâmés. Même en Amérique, il existe des signes clairs, comme les comptes de retraite individuels qui sont limités à 3 millions de dollars. Tout n’est plus question que de temps.

    Source Robeco Gestion

  2. idée très intéressante Trankil, je ne sais pas si je peux faire des commentaires des articles tête de gondole mais je sais que j’ai beaucoup écrit sur le sujet. Il faudra donc que je me relise déjà :-) et ensuite en effet que je fasse une collection d’articles traitant du sujet en copiant collant par exemples les commentaires de graphs à titre d’exemple
    à voir, je vous tiens au jus

    • merci beaucoup Julien. Je vais donc m’en tenir à ma stratégie initiale confortée par le RSI (petite hausse jusqu’à résistance MA puis « descente aux enfers »), confortée par le GAP à combler(même si je me demande quand même s’il n’y a pas prescription au bout de 13 ans ou alors si mes yeux ne me font pas des tours !)

  3. Beaucoup de monde croit qu’il est facile de gagner en bourse…mais rien n’est aussi difficile que de gagner en bourse et de durer dans la performance, cf moi qui retombe dans mes travers de smalls caps ou toi encore qui a une acuité encore plus pertinente que moi et des analyses de premier niveau…L’essentiel est de tirer des leçons des moments d’errance tout en gardant à l’esprit que le zéro faute est utopique; mieux vaut continuer à « travailler » et progresser pour s’améliorer (en deux mois, après avoir presque doublé mon capital en six mois, j’ai reperdu un peu plus de 20% avec une tendance haussière très solide où j’aurais acheté presque n’importe quoi du cac, j’aurais fait progressé mon portefeuille…). N’étant pas là partiellement pendant un mois, j’ai gardé une pose mais ça m’a pas réussi…Je crois que je vais également éviter les valeurs sous les 0.50 euros (que dire de César au fixing à 0.05/j’ai accumulé tous les risques !), car les variations au centime près peuvent s’avérer très pénalisantes si on se trompe. Même si reste évidemment persuadé qu’on a rien sans rien, que le risque est indispensable, c’est dommage que je me « crame » comme ça sur quelques coups extrèmement malheureux. Bonne soirée Julien et à tous !

    • je plussoie et me demande (sous réserve de faisabilité, à confirmer par Julien) si ces posts ne pourraient pas être épinglés dans un « journal de l’excès de confiance » (le titre n’est vraiment donné qu’à titre d’illustration de fond) histoire de s’imposer à les relire après de grosses PV !
      Je sais que c’est un peu utopique et que la nature humaine est ce qu’elle est (personne ne nous obligera à les lire !!!) mais au moins, en consolidant tous ces exemples concrets de Graphs, nous réduirons encore un peu plus les excuses plus ou moins valables pour retomber dans nos travers … !

  4. salut Cris.
    en effet les petites valeurs prennent souvent le relais dans un marché haussier. Si tel est le cas ce serait un signal encore que le cac ne ferait que consolider et non pas partir à la cave. Ce serait un signe d’un marché bull qui s’affermit, se renforce pour créer son exponentielle haussière.

    le marché des smalls est en effet assez mort, mais il revient à la vie aussi rapidement qu’on le tue. Donc même si pour le moment on évitera de s’y aventurer, il faut le garder à l’oeil.

    pas de regret, en trois jours ce marché m’a piégé, pas par la faute de la stratégie, mais par l’impatience de l’homme. Des erreurs on en fait, ce qu’il faut c’est qu’elles servent de leçon

  5. Bonsoir Julien,

    le Cac a réussi a toper les 4000 comme je m’y attendais; pour ce qui me concerne, je suis resté bloqué 1 mois sur César en ne profitant absolument pas de la hausse que j’anticipais sur les marchés et en sortant en moins value (après avoir été patient mais dubitatif maintenant que le cac a eu ses 4000)…Tant pis pour moi, je réitère ce que je m’étais promis et pas tenu, à savoir proscrire absolument les valeurs côtées au fixing.

    Il se peut que les petites valeurs prennent le relais des boosts pendant que le cac consoliderait sa hausse interminable depuis un mois, comme souvent…Mais le marché des smalls me semble mort ce dont je ne me suis pas rendu compte. J’aurais pris Peugeot, Carrefour…bref…

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